L'origine du droit positif chez Frédéric II de Hohenstaufen. Philologie et politique
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- Nombre de pages292
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.475 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-84539-052-2
- EAN9782845390522
- Date de parution01/09/2020
- ÉditeurMémoire du Droit
- PréfacierFrancesco Di Donato
- PréfacierMichel Troper
- TraducteurRaymonde Coniglio
Résumé
"Il y a des ouvrages dont la sortie détermine un véritable tournant dans un champ de savoir. Nous nous trouvons ici face à l'un de ces cas". Les premières lignes de la préface de Francesca Di Donato et Michel Troper à la présente édition disent en quelques mots toute l'importance du texte ici traduit pour la première fois en Français d'Ortensio Zecchino. Au travers d'une étude minutieuse et subtile des sources, l'auteur nous introduit à un des débats majeurs du droit : l'opposition entre le droit naturel et le droit positif, au travers du conflit entre le Saint-Empire et la Papauté.
Il nous montre comment Frédéric II de Hohenstaufen, en opposant au "droit naturel" invoqué par Grégoire IX un droit politique en action, construit les fondements de la théorie moderne du "droit positif". L'auteur, dans la lignée de Kantorowicz, met en évidence la rupture intellectuelle majeure que constitue ce débat. Par rapport aux auteurs français il souligne aussi son antériorité aux affirmations analogues des juristes de Philippe Le Bel.
Cet ouvrage, par son jeu subtil entre droit médiéval, droit moderne et droit contemporain constitue une réflexion essentielle sur le droit occidental. Il est ici présenté dans une traduction, complétée et enrichie de la 2e édition de sa version italienne publiée en 2018.
Il nous montre comment Frédéric II de Hohenstaufen, en opposant au "droit naturel" invoqué par Grégoire IX un droit politique en action, construit les fondements de la théorie moderne du "droit positif". L'auteur, dans la lignée de Kantorowicz, met en évidence la rupture intellectuelle majeure que constitue ce débat. Par rapport aux auteurs français il souligne aussi son antériorité aux affirmations analogues des juristes de Philippe Le Bel.
Cet ouvrage, par son jeu subtil entre droit médiéval, droit moderne et droit contemporain constitue une réflexion essentielle sur le droit occidental. Il est ici présenté dans une traduction, complétée et enrichie de la 2e édition de sa version italienne publiée en 2018.
"Il y a des ouvrages dont la sortie détermine un véritable tournant dans un champ de savoir. Nous nous trouvons ici face à l'un de ces cas". Les premières lignes de la préface de Francesca Di Donato et Michel Troper à la présente édition disent en quelques mots toute l'importance du texte ici traduit pour la première fois en Français d'Ortensio Zecchino. Au travers d'une étude minutieuse et subtile des sources, l'auteur nous introduit à un des débats majeurs du droit : l'opposition entre le droit naturel et le droit positif, au travers du conflit entre le Saint-Empire et la Papauté.
Il nous montre comment Frédéric II de Hohenstaufen, en opposant au "droit naturel" invoqué par Grégoire IX un droit politique en action, construit les fondements de la théorie moderne du "droit positif". L'auteur, dans la lignée de Kantorowicz, met en évidence la rupture intellectuelle majeure que constitue ce débat. Par rapport aux auteurs français il souligne aussi son antériorité aux affirmations analogues des juristes de Philippe Le Bel.
Cet ouvrage, par son jeu subtil entre droit médiéval, droit moderne et droit contemporain constitue une réflexion essentielle sur le droit occidental. Il est ici présenté dans une traduction, complétée et enrichie de la 2e édition de sa version italienne publiée en 2018.
Il nous montre comment Frédéric II de Hohenstaufen, en opposant au "droit naturel" invoqué par Grégoire IX un droit politique en action, construit les fondements de la théorie moderne du "droit positif". L'auteur, dans la lignée de Kantorowicz, met en évidence la rupture intellectuelle majeure que constitue ce débat. Par rapport aux auteurs français il souligne aussi son antériorité aux affirmations analogues des juristes de Philippe Le Bel.
Cet ouvrage, par son jeu subtil entre droit médiéval, droit moderne et droit contemporain constitue une réflexion essentielle sur le droit occidental. Il est ici présenté dans une traduction, complétée et enrichie de la 2e édition de sa version italienne publiée en 2018.