L'organisation et ses langages. Interpréter pour agir
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- Nombre de pages229
- PrésentationBroché
- Poids0.325 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7637-8789-3
- EAN9782763787893
- Date de parution17/06/2009
- ÉditeurPresses Université Laval
Résumé
Les entreprises pensent en agissant et agissent en pensant. Leurs parties prenantes mobilisent des cognitions pour donner du sens à ce qu'elles font : interpréter leurs contextes d'action respectifs, déployer des modes de fonctionnement organisationnel, prendre des décisions au quotidien. Plus les langages sont partagés, plus la coopération entre les parties est aisée. Ces cognitions sont de véritables langages pour l'action.
Au fil de l'observation fine de deux entreprises internationales, ce livre illustre dans quelles conditions des références communes naissent, se diffusent, se partagent ou non, se transforment, voire s'évanouissent. Cette construction réflexive existe dans toutes les organisations. Elle est essentielle à leur succès. Elle varie selon les contextes et les circonstances. Elle ne doit aucunement être confondue avec ce qu'on appelle la culture, la croyance, le discours ou encore le " common knowledge ".
Ce livre fait découvrir de riches et prometteurs horizons à la théorie des organisations. Il formule notamment une méthodologie permettant de traquer les langages à l'oeuvre et d'en caractériser les contenus, une démarche qui demeurait le point faible des diverses écoles cognitives. Les organisations ne sont pas par nature idiotes cognitivement. Leurs parties prenantes sont réflexives. Ce livre interpelle les praticiens du management, surtout en période de turbulence économique et de faible visibilité du moyen terme.
Construire du sens pour agir et le faire approprier par les parties prenantes résultent en large partie de la manière dont la direction de l'entreprise opère. Les dirigeants assurent une fonction de bricolage mental : ils énoncent le langage de référence en même temps qu'ils le transgressent quand nécessité fait loi. La complexité organisationnelle et le métissage des langages sont des atouts essentiels pour la survie et le succès des entreprises, grandes ou plus petites.
Le livre donne les clés pour les analyser et les construire au concret.
Au fil de l'observation fine de deux entreprises internationales, ce livre illustre dans quelles conditions des références communes naissent, se diffusent, se partagent ou non, se transforment, voire s'évanouissent. Cette construction réflexive existe dans toutes les organisations. Elle est essentielle à leur succès. Elle varie selon les contextes et les circonstances. Elle ne doit aucunement être confondue avec ce qu'on appelle la culture, la croyance, le discours ou encore le " common knowledge ".
Ce livre fait découvrir de riches et prometteurs horizons à la théorie des organisations. Il formule notamment une méthodologie permettant de traquer les langages à l'oeuvre et d'en caractériser les contenus, une démarche qui demeurait le point faible des diverses écoles cognitives. Les organisations ne sont pas par nature idiotes cognitivement. Leurs parties prenantes sont réflexives. Ce livre interpelle les praticiens du management, surtout en période de turbulence économique et de faible visibilité du moyen terme.
Construire du sens pour agir et le faire approprier par les parties prenantes résultent en large partie de la manière dont la direction de l'entreprise opère. Les dirigeants assurent une fonction de bricolage mental : ils énoncent le langage de référence en même temps qu'ils le transgressent quand nécessité fait loi. La complexité organisationnelle et le métissage des langages sont des atouts essentiels pour la survie et le succès des entreprises, grandes ou plus petites.
Le livre donne les clés pour les analyser et les construire au concret.
Les entreprises pensent en agissant et agissent en pensant. Leurs parties prenantes mobilisent des cognitions pour donner du sens à ce qu'elles font : interpréter leurs contextes d'action respectifs, déployer des modes de fonctionnement organisationnel, prendre des décisions au quotidien. Plus les langages sont partagés, plus la coopération entre les parties est aisée. Ces cognitions sont de véritables langages pour l'action.
Au fil de l'observation fine de deux entreprises internationales, ce livre illustre dans quelles conditions des références communes naissent, se diffusent, se partagent ou non, se transforment, voire s'évanouissent. Cette construction réflexive existe dans toutes les organisations. Elle est essentielle à leur succès. Elle varie selon les contextes et les circonstances. Elle ne doit aucunement être confondue avec ce qu'on appelle la culture, la croyance, le discours ou encore le " common knowledge ".
Ce livre fait découvrir de riches et prometteurs horizons à la théorie des organisations. Il formule notamment une méthodologie permettant de traquer les langages à l'oeuvre et d'en caractériser les contenus, une démarche qui demeurait le point faible des diverses écoles cognitives. Les organisations ne sont pas par nature idiotes cognitivement. Leurs parties prenantes sont réflexives. Ce livre interpelle les praticiens du management, surtout en période de turbulence économique et de faible visibilité du moyen terme.
Construire du sens pour agir et le faire approprier par les parties prenantes résultent en large partie de la manière dont la direction de l'entreprise opère. Les dirigeants assurent une fonction de bricolage mental : ils énoncent le langage de référence en même temps qu'ils le transgressent quand nécessité fait loi. La complexité organisationnelle et le métissage des langages sont des atouts essentiels pour la survie et le succès des entreprises, grandes ou plus petites.
Le livre donne les clés pour les analyser et les construire au concret.
Au fil de l'observation fine de deux entreprises internationales, ce livre illustre dans quelles conditions des références communes naissent, se diffusent, se partagent ou non, se transforment, voire s'évanouissent. Cette construction réflexive existe dans toutes les organisations. Elle est essentielle à leur succès. Elle varie selon les contextes et les circonstances. Elle ne doit aucunement être confondue avec ce qu'on appelle la culture, la croyance, le discours ou encore le " common knowledge ".
Ce livre fait découvrir de riches et prometteurs horizons à la théorie des organisations. Il formule notamment une méthodologie permettant de traquer les langages à l'oeuvre et d'en caractériser les contenus, une démarche qui demeurait le point faible des diverses écoles cognitives. Les organisations ne sont pas par nature idiotes cognitivement. Leurs parties prenantes sont réflexives. Ce livre interpelle les praticiens du management, surtout en période de turbulence économique et de faible visibilité du moyen terme.
Construire du sens pour agir et le faire approprier par les parties prenantes résultent en large partie de la manière dont la direction de l'entreprise opère. Les dirigeants assurent une fonction de bricolage mental : ils énoncent le langage de référence en même temps qu'ils le transgressent quand nécessité fait loi. La complexité organisationnelle et le métissage des langages sont des atouts essentiels pour la survie et le succès des entreprises, grandes ou plus petites.
Le livre donne les clés pour les analyser et les construire au concret.