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Amed et Aziz sont jumeaux et vivent avec leurs parents dans un pays en guerre entouré de montagnes. Au-delà vivent les chiens, leurs ennemis. Lorsqu'un des chefs de la région vient demander à leur père de sacrifier un de ses fils pour le bien de la communauté, Tamara, la mère des enfants, refuse. D'autant plus qu'Aziz, atteint d'un cancer, est condamné. Comment faire ce choix impossible ? Comment accepter l'impensable ? Culpabilité, manipulation, amour, et rédemption sont autant de thèmes qui composent ce livre coup de poing.
L'orangeraie
J’ai aimé les deux premières parties qui nous parlent d’Aziz et d’Amed, de leur complicité entre eux et avec leur mère.
J’ai aimé me promener au milieu des orangers plantés par le grand-père, je sentais presque leur parfum.
Puis est arrivé Soulayed pour parler de la guerre et des martyrs.
La troisième partie est à mon avis la moins intéressante du roman, car replacer le récit sur une scène de théâtre n’a pas vraiment d’intérêt. Le propos de l’auteur était suffisamment fort auparavant sans qu’il ait le besoin d’en rajouter dans un discours final qui tombe comme un cheveux sur la soupe. Il fait perdre au roman toute sa poésie. Dommage.
L’image que je retiendrai :
Celle des cailloux sur lesquels poussent les orangers du grand-père.
https://alexmotamots.wordpress.com/2015/05/21/lorangeraie-larry-tremblay