" Comme tous les livres de quelque profondeur, L'Ombre de la nuit ne tient pas en une seule et simple définition. C'est un court traité d'histoire de l'art moderne consacré à deux peintres majeurs, Paul Klee et Mario Sironi. C'est un parallèle entre deux œuvres que l'on tient d'ordinaire pour fort différentes et d'importances fort inégales. C'est - poursuivons - une méditation esthétique et philosophique sur la mélancolie, l'ennui, les humeurs noires et leurs figures picturales. C'est aussi bien - ne serait-ce pas là l'essentiel ? - un essai sur les incertitudes de l'art dans ce siècle, ses doutes, ses faiblesses et les façons de les avouer. " Philippe Dagen, Le Monde.
" Comme tous les livres de quelque profondeur, L'Ombre de la nuit ne tient pas en une seule et simple définition. C'est un court traité d'histoire de l'art moderne consacré à deux peintres majeurs, Paul Klee et Mario Sironi. C'est un parallèle entre deux œuvres que l'on tient d'ordinaire pour fort différentes et d'importances fort inégales. C'est - poursuivons - une méditation esthétique et philosophique sur la mélancolie, l'ennui, les humeurs noires et leurs figures picturales. C'est aussi bien - ne serait-ce pas là l'essentiel ? - un essai sur les incertitudes de l'art dans ce siècle, ses doutes, ses faiblesses et les façons de les avouer. " Philippe Dagen, Le Monde.