L'ombre de la nuit. La mélancolie et l'angoisse dans les oeuvres de Mario Sironi et Paul Klee entre 1933 et 1940

Par : Alain Bonfand
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  • Nombre de pages147
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.228 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-7116-2899-5
  • EAN9782711628995
  • Date de parution30/10/2019
  • CollectionEssais d'art et de philosophie
  • ÉditeurVrin

Résumé

Avant d'entrer en philosophie, Alain Bonfand est d'abord historien. Là réside l'originalité de sa démarche phénoménologique. L'ombre de la nuit en est une démonstration singulière. Bonfand, usant d'outils revisités de la phénoménologie, explore un contraste inattendu. Paul Klee d'une part, artiste stigmatisé dès 1933 dont l'oeuvre à cette date est détourné par l'angoisse (motif exploré dans L'oeil en trop).
Il lui oppose avec pertinence Mario Sironi, thuriféraire du fascisme alors que son oeuvre peint, visité par l'ennui des profondeurs, dément un tel engagement. L'auteur fait vivre, en opposant ces deux artistes, le primat de l'angoisse et de la mélancolie en ces années noires. Jacqueline Lichtenstein
Avant d'entrer en philosophie, Alain Bonfand est d'abord historien. Là réside l'originalité de sa démarche phénoménologique. L'ombre de la nuit en est une démonstration singulière. Bonfand, usant d'outils revisités de la phénoménologie, explore un contraste inattendu. Paul Klee d'une part, artiste stigmatisé dès 1933 dont l'oeuvre à cette date est détourné par l'angoisse (motif exploré dans L'oeil en trop).
Il lui oppose avec pertinence Mario Sironi, thuriféraire du fascisme alors que son oeuvre peint, visité par l'ennui des profondeurs, dément un tel engagement. L'auteur fait vivre, en opposant ces deux artistes, le primat de l'angoisse et de la mélancolie en ces années noires. Jacqueline Lichtenstein