L'oeuvre-trace. Questionnement de la présence (Antonio Tabucchi, Peter Handke et Pierre Péju)

Par : Clélie Millner

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  • Nombre de pages560
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.638 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-406-16722-8
  • EAN9782406167228
  • Date de parution10/07/2024
  • CollectionPerspectives comparatistes
  • ÉditeurClassiques Garnier

Résumé

La trace est un vestige sensible qui provoque le trouble d'une présence-absence. Les récits de Tabucchi, Handke et Péju, écrivains nés dans les années 1940 dans des pays ayant collaboré avec l'Allemagne nazie, sont habités d'une inquiétude aussi bien historique qu'ontologique et déclinent les modalités d'une représentation de la présence spectrale oscillant entre épiphanie et retour du passé. L'oeuvre-trace se fait représentation d'un jeu interstitiel : blessure qui ne peur cicatriser et condition même de ce qui est à venir.
La quête heuristique, en refusant toute assertion, rejoint la démarche de la philosophie sceptique. La connaissance ne se laisse approcher que de façon asymptotique, trace de ce qui a été et esquisse de ce qui sera.
La trace est un vestige sensible qui provoque le trouble d'une présence-absence. Les récits de Tabucchi, Handke et Péju, écrivains nés dans les années 1940 dans des pays ayant collaboré avec l'Allemagne nazie, sont habités d'une inquiétude aussi bien historique qu'ontologique et déclinent les modalités d'une représentation de la présence spectrale oscillant entre épiphanie et retour du passé. L'oeuvre-trace se fait représentation d'un jeu interstitiel : blessure qui ne peur cicatriser et condition même de ce qui est à venir.
La quête heuristique, en refusant toute assertion, rejoint la démarche de la philosophie sceptique. La connaissance ne se laisse approcher que de façon asymptotique, trace de ce qui a été et esquisse de ce qui sera.