Entre la Corse et les bidonvilles de Toulon, les échos de la guerre d’Algérie, deux femmes, deux histoires, deux intimités écorchées qui croisent tout un pan de l’histoire sociale de la France.
De sa langue pudique et délicate qui ne cesse de construire des passerelles entre des mondes invisibles et fragiles, Christian Astolfi fait de l’œil de la perdrix un îlot d’humanité infiniment poignant, infiniment juste et beau, où l’éveil d’une conscience est un pansement qu’on retire quelque peu sur des chemins émaillés de silences, des vies d’exils et d’assignations.
Un texte désarmant de simplicité touchante, de liens qui se tissent comme une nécessité où les mots émergent autour d’une amitié, tissent une parole , des voix qui se rapproprient dans les luttes de toute une époque.
Entre la Corse et les bidonvilles de Toulon, les échos de la guerre d’Algérie, deux femmes, deux histoires, deux intimités écorchées qui croisent tout un pan de l’histoire sociale de la France.
De sa langue pudique et délicate qui ne cesse de construire des passerelles entre des mondes invisibles et fragiles, Christian Astolfi fait de l’œil de la perdrix un îlot d’humanité infiniment poignant, infiniment juste et beau, où l’éveil d’une conscience est un pansement qu’on retire quelque peu sur des chemins émaillés de silences, des vies d’exils et d’assignations.
Un texte désarmant de simplicité touchante, de liens qui se tissent comme une nécessité où les mots émergent autour d’une amitié, tissent une parole , des voix qui se rapproprient dans les luttes de toute une époque.