L'ivresse de la marche. Petit manifeste en faveur du voyage à pied

Par : Emeric Fisset

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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.08 kg
  • Dimensions11,0 cm × 16,6 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-36157-030-9
  • EAN9782361570309
  • Date de parution04/04/2012
  • CollectionPetite philosophie du voyage
  • ÉditeurTransboréal

Résumé

La collection "Petite philosophie du voyage" invite Émeric Fisset, éditeur et écrivain-voyageur, à confier sa passion pour la marche. Le voyage à pied, par sa lenteur, sa simplicité et la disponibilité d'esprit qu'il engendre, permet d'apprécier le détail d'un paysage, de communier avec la nature, de se porter au-devant des hommes et de se dépasser.
La collection "Petite philosophie du voyage" invite Émeric Fisset, éditeur et écrivain-voyageur, à confier sa passion pour la marche. Le voyage à pied, par sa lenteur, sa simplicité et la disponibilité d'esprit qu'il engendre, permet d'apprécier le détail d'un paysage, de communier avec la nature, de se porter au-devant des hommes et de se dépasser.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Un peu déçu
L'auteur a fait d"Impressionnants périples pour lequel nous sommes admiratfs. Cependant, je n'ai pas pu adhérer et entrer dans le propos pour diverses raisons. Tout d'abord, il y a quelques contradictions. L'auteur oppose par exemple, au début de l'ouvrage, le randonneur d'un jour dans la montagne qui dispose d'une carte, au voyageur à pied pendant des mois, qui n'en a pas. Par la suite, on découvre que ce fameux voyageur à pied peut porter 51 cartes, et qu'il ne peut (à un autre endroit) pas regarder sa carte la nuit. Ensuite, l'accent est mis sur la nono-écologie d'un voyage destiné à effectuer un reportage écologique dans un pays éloigné. Mais le voyageur à pied qui marche en Alaska n'est-il pas arrivé sur le continent en avion, contredisant aussi le "tvoyage à pied"? Aussi je ne parviens pas à partager l'empathie de mangeurs de hérissons ou de lard de baleine au XXIème siècle, époque à laquelle nous savons l'impact négatif de la consommation de hérisson pour une espèce en déclin, et l'impact négatif de la consommation de baleine devant la très longue agonie de ces grands mammifères marins lorsqu'ils sont tués, alors qu'ou pourrait les respecter et consommer autre chose (pour information, je suis végétarien. Si j'habitais le grand nord, je serais peut-être obligé de consommer du poisson -en plus des algues-, mais pas de la baleine). Enfin, pour terminer, l'auteur exhorte le lecteur à marcher (des semaines, des mois, des années) à pied, mais comment rattraper ses semestres de retraite non payés? Comme payer ses charges lorsqu'on est en exercice libéral? Comme s'occuper de ses enfants? La marche ainsi conçue n'est-elle pas réservée à des célibataires sans enfants et ayant un héritage patrimonial leur permettant de n'avoir aucune activité pendant une période prolongée? Ces questions resterons sans réponse car ces questions pratiques ne sont pas abordées. C'est certainement le choix de la collection, de flotter, d'aborder le sujet comme un rêve. Et encore une fois, je respecte et admire le parcours de l'auteur.
L'auteur a fait d"Impressionnants périples pour lequel nous sommes admiratfs. Cependant, je n'ai pas pu adhérer et entrer dans le propos pour diverses raisons. Tout d'abord, il y a quelques contradictions. L'auteur oppose par exemple, au début de l'ouvrage, le randonneur d'un jour dans la montagne qui dispose d'une carte, au voyageur à pied pendant des mois, qui n'en a pas. Par la suite, on découvre que ce fameux voyageur à pied peut porter 51 cartes, et qu'il ne peut (à un autre endroit) pas regarder sa carte la nuit. Ensuite, l'accent est mis sur la nono-écologie d'un voyage destiné à effectuer un reportage écologique dans un pays éloigné. Mais le voyageur à pied qui marche en Alaska n'est-il pas arrivé sur le continent en avion, contredisant aussi le "tvoyage à pied"? Aussi je ne parviens pas à partager l'empathie de mangeurs de hérissons ou de lard de baleine au XXIème siècle, époque à laquelle nous savons l'impact négatif de la consommation de hérisson pour une espèce en déclin, et l'impact négatif de la consommation de baleine devant la très longue agonie de ces grands mammifères marins lorsqu'ils sont tués, alors qu'ou pourrait les respecter et consommer autre chose (pour information, je suis végétarien. Si j'habitais le grand nord, je serais peut-être obligé de consommer du poisson -en plus des algues-, mais pas de la baleine). Enfin, pour terminer, l'auteur exhorte le lecteur à marcher (des semaines, des mois, des années) à pied, mais comment rattraper ses semestres de retraite non payés? Comme payer ses charges lorsqu'on est en exercice libéral? Comme s'occuper de ses enfants? La marche ainsi conçue n'est-elle pas réservée à des célibataires sans enfants et ayant un héritage patrimonial leur permettant de n'avoir aucune activité pendant une période prolongée? Ces questions resterons sans réponse car ces questions pratiques ne sont pas abordées. C'est certainement le choix de la collection, de flotter, d'aborder le sujet comme un rêve. Et encore une fois, je respecte et admire le parcours de l'auteur.
  • tour du monde
  • voyage à pied
  • voyage en avion