À paraître

L'Italie du long Quattrocento. Un monde politique sous influence ?
1e édition

Par : Alain Marchandisse, Pierre Savy, Laurent Vissière

Formats :

Précommande en ligne
Votre colis est préparé et expédié le jour de la sortie de cet article, hors dimanches et jours fériés, dans la limite des stocks disponibles.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages424
  • Poids0.667 kg
  • Dimensions16,2 cm × 24,2 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-7283-1850-6
  • EAN9782728318506
  • Date de parution04/09/2025
  • CollectionCollection de l'Ecole français
  • ÉditeurECOLE ROME

Résumé

Saisir le rôle déterminant des influences étrangères dans la construction politique de l'Italie de la Renaissance Dans le long Quattrocento qui va de 1400 environ au sac de Rome, en 1527, l'Italie est encore souvent présentée comme un espace où s'inventent la Renaissance et une manière particulière de penser et de pratiquer la politique : un espace sinon clos, du moins peu ouvert aux influences européennes.
Il ne s'agit évidemment pas de nier ni de relativiser la vigueur de l'humanisme et l'originalité de la production artistique italienne, mais d'étudier le jeu complexe d'interactions à l'oeuvre dans la Péninsule et la manière dont les Italiens interprétèrent et transformèrent des idées qui leur étaient à l'origine étrangères. Extraordinaire carrefour, l'Italie servit de laboratoire politique et militaire à l'Europe.
En paroles, sur le papier ou sur les champs de bataille, on y expérimenta de nouvelles techniques de gouvernement et de combat qui furent ensuite discutées et réadaptées à travers tout l'Occident.
Saisir le rôle déterminant des influences étrangères dans la construction politique de l'Italie de la Renaissance Dans le long Quattrocento qui va de 1400 environ au sac de Rome, en 1527, l'Italie est encore souvent présentée comme un espace où s'inventent la Renaissance et une manière particulière de penser et de pratiquer la politique : un espace sinon clos, du moins peu ouvert aux influences européennes.
Il ne s'agit évidemment pas de nier ni de relativiser la vigueur de l'humanisme et l'originalité de la production artistique italienne, mais d'étudier le jeu complexe d'interactions à l'oeuvre dans la Péninsule et la manière dont les Italiens interprétèrent et transformèrent des idées qui leur étaient à l'origine étrangères. Extraordinaire carrefour, l'Italie servit de laboratoire politique et militaire à l'Europe.
En paroles, sur le papier ou sur les champs de bataille, on y expérimenta de nouvelles techniques de gouvernement et de combat qui furent ensuite discutées et réadaptées à travers tout l'Occident.