L'invisible théâtral, de Shakespeare à Ibsen et Strindberg. Pour une nouvelle dramaturgie de l'intériorité
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- Nombre de pages243
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.385 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-296-08876-4
- EAN9782296088764
- Date de parution01/11/2013
- CollectionUniversités / Comparaisons
- ÉditeurOrizons
Résumé
La célèbre apparition spectrale dans Hamlet de Shakespeare incarne le renouveau d'un motif antique, porteuse d'une réalité intérieure profonde : un péché originel commis avant le début de la représentation et qui doit impérativement être expié sur scène. En réécrivant cette fable nordique, Shakespeare s'inscrit dans une filiation dont le Norvégien Ibsen et le Suédois Strindberg semblent être les héritiers légitimes en réinvestissant, à leur tour, ce motif du revenant.
Ce dernier lie les dramaturgies des trois auteurs en incarnant, à chaque fois, l'accomplissement d'une vengeance, la mise en échec du visible au profit de l'invisible et celui de la parole au bénéfice des dégâts dévastateurs du silence. Avec Ibsen et Strindberg, le spectre est, désormais, formellement intériorisé par des personnages bien vivants et s'inscrit dans une nouvelle dramaturgie de l'intériorité, à la fois mystique et inconsciente.
Le personnage de théâtre vole en éclats sous l'influence de transmissions transgénérationnelles traumatiques. La scène de théâtre devient alors l'extension de la psyché de l'auteur qui instaure un véritable psychothéâtre au début du XXe siècle.
Ce dernier lie les dramaturgies des trois auteurs en incarnant, à chaque fois, l'accomplissement d'une vengeance, la mise en échec du visible au profit de l'invisible et celui de la parole au bénéfice des dégâts dévastateurs du silence. Avec Ibsen et Strindberg, le spectre est, désormais, formellement intériorisé par des personnages bien vivants et s'inscrit dans une nouvelle dramaturgie de l'intériorité, à la fois mystique et inconsciente.
Le personnage de théâtre vole en éclats sous l'influence de transmissions transgénérationnelles traumatiques. La scène de théâtre devient alors l'extension de la psyché de l'auteur qui instaure un véritable psychothéâtre au début du XXe siècle.
La célèbre apparition spectrale dans Hamlet de Shakespeare incarne le renouveau d'un motif antique, porteuse d'une réalité intérieure profonde : un péché originel commis avant le début de la représentation et qui doit impérativement être expié sur scène. En réécrivant cette fable nordique, Shakespeare s'inscrit dans une filiation dont le Norvégien Ibsen et le Suédois Strindberg semblent être les héritiers légitimes en réinvestissant, à leur tour, ce motif du revenant.
Ce dernier lie les dramaturgies des trois auteurs en incarnant, à chaque fois, l'accomplissement d'une vengeance, la mise en échec du visible au profit de l'invisible et celui de la parole au bénéfice des dégâts dévastateurs du silence. Avec Ibsen et Strindberg, le spectre est, désormais, formellement intériorisé par des personnages bien vivants et s'inscrit dans une nouvelle dramaturgie de l'intériorité, à la fois mystique et inconsciente.
Le personnage de théâtre vole en éclats sous l'influence de transmissions transgénérationnelles traumatiques. La scène de théâtre devient alors l'extension de la psyché de l'auteur qui instaure un véritable psychothéâtre au début du XXe siècle.
Ce dernier lie les dramaturgies des trois auteurs en incarnant, à chaque fois, l'accomplissement d'une vengeance, la mise en échec du visible au profit de l'invisible et celui de la parole au bénéfice des dégâts dévastateurs du silence. Avec Ibsen et Strindberg, le spectre est, désormais, formellement intériorisé par des personnages bien vivants et s'inscrit dans une nouvelle dramaturgie de l'intériorité, à la fois mystique et inconsciente.
Le personnage de théâtre vole en éclats sous l'influence de transmissions transgénérationnelles traumatiques. La scène de théâtre devient alors l'extension de la psyché de l'auteur qui instaure un véritable psychothéâtre au début du XXe siècle.