L'inspecteur des Nations Unies
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- Nombre de pages211
- PrésentationBroché
- Poids0.28 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-85816-990-0
- EAN9782858169900
- Date de parution14/05/2008
- CollectionNouvelles scènes Anglais
- ÉditeurPresses Universitaires Mirail
- TraducteurNathalie Rivère de Carles
Résumé
Un homme d'affaires britannique des plus médiocres que les autorités russes prennent pour un redoutable inspecteur des Nations Unies. Un quiproquo central. Un vaste jeu de dupes. Une brillante cascade d'effets comiques, sous-tendus par l'impitoyable dénonciation d'une mascarade sanglante. On aura bien sûr reconnu dans, The UN Inspector une adaptation libre et inventive du Revizor de Nicolas Gogol, audacieusement transposé de la Russie tsariste à la Russie contemporaine.
David Farr, conservant la tonalité satirique de la pièce de Gogol, brosse toute une galerie de tableaux cruels où les hommes et les femmes de pouvoir, comme autant de marionnettes grotesques, ne sont mus que par l'avidité, la stupidité et l'orgueil.
David Farr, conservant la tonalité satirique de la pièce de Gogol, brosse toute une galerie de tableaux cruels où les hommes et les femmes de pouvoir, comme autant de marionnettes grotesques, ne sont mus que par l'avidité, la stupidité et l'orgueil.
Un homme d'affaires britannique des plus médiocres que les autorités russes prennent pour un redoutable inspecteur des Nations Unies. Un quiproquo central. Un vaste jeu de dupes. Une brillante cascade d'effets comiques, sous-tendus par l'impitoyable dénonciation d'une mascarade sanglante. On aura bien sûr reconnu dans, The UN Inspector une adaptation libre et inventive du Revizor de Nicolas Gogol, audacieusement transposé de la Russie tsariste à la Russie contemporaine.
David Farr, conservant la tonalité satirique de la pièce de Gogol, brosse toute une galerie de tableaux cruels où les hommes et les femmes de pouvoir, comme autant de marionnettes grotesques, ne sont mus que par l'avidité, la stupidité et l'orgueil.
David Farr, conservant la tonalité satirique de la pièce de Gogol, brosse toute une galerie de tableaux cruels où les hommes et les femmes de pouvoir, comme autant de marionnettes grotesques, ne sont mus que par l'avidité, la stupidité et l'orgueil.