L'insécurité en République centrafricaine. Quel rôle pour le droit international ?
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- Nombre de pages132
- PrésentationBroché
- Poids0.165 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-05709-5
- EAN9782343057095
- Date de parution01/02/2015
- CollectionEtudes africaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Tout Etat est amené à vivre des conflits. Les moments de crise qu'engendre un conflit sont inévitables et souvent nécessaires pour modifier les orientations politiques et initialiser une mutation vers un nouvel équilibre ; tandis qu'en République centrafricaine tout porte à croire que la solution à une crise se trouve au bout du fusil. C'est pourquoi chaque coup d'Etat en chasse un autre. Et, l'usurpation du pouvoir est marquée par la terreur, la cupidité et le mépris du droit et des règles morales.
Le droit à la vie est systématiquement violé, l'intégrité physique bafouée, la propriété privée spoliée, le viol pratiqué, les enfants enrôlés, les villages incendiés, les biens publics détruits, les villageois forcés à se déplacer, la circulation des personnes menacée, au mépris des lois humanitaires édictées par le droit international. La République centrafricaine produit donc une insécurité incontrôlable tant à l'intérieur du territoire que pour la stabilité de la sous-région d'Afrique centrale.
Le droit international doit donc agir. L'un des défis auxquels est confronté ce droit serait de poursuivre et punir les crimes internationaux commis par les auteurs et les responsables.
Le droit à la vie est systématiquement violé, l'intégrité physique bafouée, la propriété privée spoliée, le viol pratiqué, les enfants enrôlés, les villages incendiés, les biens publics détruits, les villageois forcés à se déplacer, la circulation des personnes menacée, au mépris des lois humanitaires édictées par le droit international. La République centrafricaine produit donc une insécurité incontrôlable tant à l'intérieur du territoire que pour la stabilité de la sous-région d'Afrique centrale.
Le droit international doit donc agir. L'un des défis auxquels est confronté ce droit serait de poursuivre et punir les crimes internationaux commis par les auteurs et les responsables.
Tout Etat est amené à vivre des conflits. Les moments de crise qu'engendre un conflit sont inévitables et souvent nécessaires pour modifier les orientations politiques et initialiser une mutation vers un nouvel équilibre ; tandis qu'en République centrafricaine tout porte à croire que la solution à une crise se trouve au bout du fusil. C'est pourquoi chaque coup d'Etat en chasse un autre. Et, l'usurpation du pouvoir est marquée par la terreur, la cupidité et le mépris du droit et des règles morales.
Le droit à la vie est systématiquement violé, l'intégrité physique bafouée, la propriété privée spoliée, le viol pratiqué, les enfants enrôlés, les villages incendiés, les biens publics détruits, les villageois forcés à se déplacer, la circulation des personnes menacée, au mépris des lois humanitaires édictées par le droit international. La République centrafricaine produit donc une insécurité incontrôlable tant à l'intérieur du territoire que pour la stabilité de la sous-région d'Afrique centrale.
Le droit international doit donc agir. L'un des défis auxquels est confronté ce droit serait de poursuivre et punir les crimes internationaux commis par les auteurs et les responsables.
Le droit à la vie est systématiquement violé, l'intégrité physique bafouée, la propriété privée spoliée, le viol pratiqué, les enfants enrôlés, les villages incendiés, les biens publics détruits, les villageois forcés à se déplacer, la circulation des personnes menacée, au mépris des lois humanitaires édictées par le droit international. La République centrafricaine produit donc une insécurité incontrôlable tant à l'intérieur du territoire que pour la stabilité de la sous-région d'Afrique centrale.
Le droit international doit donc agir. L'un des défis auxquels est confronté ce droit serait de poursuivre et punir les crimes internationaux commis par les auteurs et les responsables.