L'impôt foncier, l'espace rural et l'environnement

Par : Marcel Schmitt

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  • Nombre de pages252
  • PrésentationBroché
  • Poids0.324 kg
  • Dimensions1,4 cm × 2,2 cm × 0,1 cm
  • ISBN2-7384-2076-1
  • EAN9782738420763
  • Date de parution01/01/1993
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Fondé sur un système économique qui exploite sans vergogne la nature, l'impôt sur les propriétés foncières non bâties est accusé de contribuer à la dégradation de notre environnement. Dans un bel ensemble, les agriculteurs, les écologistes, l'Etat comme les collectivités locales crient haro sur le plus vieux baudet de notre système fiscal : le capital immobilier est égratigné par un Trésor Public qui n'y trouve pas trop son compte, le revenu déjà bien laminé du paysan supporte une charge supplémentaire.
l'exploitant cherche à la compenser en accroissant sa pression sur l'équilibre écologique de son environnement. D'où vient en réalité un trouble si profond, un tel tohu-bohu "agro-écolo-fiscal" ? Serait-ce parce que cette machine fiscale née du bouillonnement révolutionnaire cultive par trop les équivoques ? A l'heure du choc des réformes fiscale et agricole et devant la dégradation de notre environnement, il était nécessaire de s'interroger enfin sur le rôle et le bien-fondé de cette contribution surannée mais toujours vivante.
Ce livre rappelle les principes fondateurs de l'impôt foncier qui rejoignent notre plus ancienne tradition rurale et sont liés à la structure d'une agriculture désemparée, malade d'un productivisme démesuré. L'impôt nous renvoie l'image d'une société aux prises avec ses contradictions, fruits de problèmes ruraux séculaires.
Fondé sur un système économique qui exploite sans vergogne la nature, l'impôt sur les propriétés foncières non bâties est accusé de contribuer à la dégradation de notre environnement. Dans un bel ensemble, les agriculteurs, les écologistes, l'Etat comme les collectivités locales crient haro sur le plus vieux baudet de notre système fiscal : le capital immobilier est égratigné par un Trésor Public qui n'y trouve pas trop son compte, le revenu déjà bien laminé du paysan supporte une charge supplémentaire.
l'exploitant cherche à la compenser en accroissant sa pression sur l'équilibre écologique de son environnement. D'où vient en réalité un trouble si profond, un tel tohu-bohu "agro-écolo-fiscal" ? Serait-ce parce que cette machine fiscale née du bouillonnement révolutionnaire cultive par trop les équivoques ? A l'heure du choc des réformes fiscale et agricole et devant la dégradation de notre environnement, il était nécessaire de s'interroger enfin sur le rôle et le bien-fondé de cette contribution surannée mais toujours vivante.
Ce livre rappelle les principes fondateurs de l'impôt foncier qui rejoignent notre plus ancienne tradition rurale et sont liés à la structure d'une agriculture désemparée, malade d'un productivisme démesuré. L'impôt nous renvoie l'image d'une société aux prises avec ses contradictions, fruits de problèmes ruraux séculaires.