Du lundi 19 février au vendredi 1er mars 1968 va se dérouler, au sein de la dix-septième Chambre correctionnelle des Tribunaux de Paris, un procès traduisant dix-huit patriotes guadeloupéens, devant la Cour de Sûreté de l'Etat. Un seul d'entre eux, déclaré "en fuite", sera jugé par contumace. - Qui sont ces hommes ? - Que leur reproche-t-on ? - Pourquoi une juridiction d'exception ? Ce texte est une adaptation théâtrale proposant de larges extraits des audiences, telles que rapportées dans l'ouvrage de référence intitulé Le procès des Guadeloupéens, étayé du traitement réservé à cette affaire, essentiellement par la presse écrite de l'époque.
Le dispositif de création renvoie, en même temps, à un talk-show, un programme de télévision au cours duquel un journaliste et un historien analysent et commentent les termes de la poursuite.
Du lundi 19 février au vendredi 1er mars 1968 va se dérouler, au sein de la dix-septième Chambre correctionnelle des Tribunaux de Paris, un procès traduisant dix-huit patriotes guadeloupéens, devant la Cour de Sûreté de l'Etat. Un seul d'entre eux, déclaré "en fuite", sera jugé par contumace. - Qui sont ces hommes ? - Que leur reproche-t-on ? - Pourquoi une juridiction d'exception ? Ce texte est une adaptation théâtrale proposant de larges extraits des audiences, telles que rapportées dans l'ouvrage de référence intitulé Le procès des Guadeloupéens, étayé du traitement réservé à cette affaire, essentiellement par la presse écrite de l'époque.
Le dispositif de création renvoie, en même temps, à un talk-show, un programme de télévision au cours duquel un journaliste et un historien analysent et commentent les termes de la poursuite.