L'importance de vivre

Par : Yutang Lin

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  • Nombre de pages496
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.296 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-8097-1087-8
  • EAN9782809710878
  • Date de parution06/03/2015
  • CollectionPicquier poche
  • ÉditeurPhilippe Picquier
  • TraducteurJacques Biadi
  • PréfacierPierre Kaser

Résumé

Nul autre que Lin Yutang, lettré chinois pétri de culture occidentale - qui disait "penser en chinois avec un pinceau et en anglais avec une machine à écrire" - pouvait réussir à nous éclairer sur le sens que nous donnons au mot "bonheur" en Occident et en Chine. "Quel peut être le but de la vie, si ce n'en est la jouissance" ? Et cette vie qui est la nôtre, déjà en 1938, date où il écrit ce livre, il déplore qu'elle soit "trop compliquée, notre science trop sérieuse, notre philosophie trop sombre et nos pensées trop embrouillées".
Aux petits soldats obéissants que nous sommes, l'antique sagesse chinoise oppose la figure du "vagabond" : recherchant l'oisiveté, cultivant un esprit libre, dont l'aspiration à l'idéal se tempère d'un désenchantement rieur. Convoquant ses "compagnons spirituels", poètes et philosophes chinois, mais aussi Thoreau ou Nietzsche, il fait l'éloge d'un homme pleinement homme, capable de goûter â toutes les saveurs de l'existence.
Car le banquet de la vie est devant nous et la seule question qui se pose est celle de notre appétit.
Nul autre que Lin Yutang, lettré chinois pétri de culture occidentale - qui disait "penser en chinois avec un pinceau et en anglais avec une machine à écrire" - pouvait réussir à nous éclairer sur le sens que nous donnons au mot "bonheur" en Occident et en Chine. "Quel peut être le but de la vie, si ce n'en est la jouissance" ? Et cette vie qui est la nôtre, déjà en 1938, date où il écrit ce livre, il déplore qu'elle soit "trop compliquée, notre science trop sérieuse, notre philosophie trop sombre et nos pensées trop embrouillées".
Aux petits soldats obéissants que nous sommes, l'antique sagesse chinoise oppose la figure du "vagabond" : recherchant l'oisiveté, cultivant un esprit libre, dont l'aspiration à l'idéal se tempère d'un désenchantement rieur. Convoquant ses "compagnons spirituels", poètes et philosophes chinois, mais aussi Thoreau ou Nietzsche, il fait l'éloge d'un homme pleinement homme, capable de goûter â toutes les saveurs de l'existence.
Car le banquet de la vie est devant nous et la seule question qui se pose est celle de notre appétit.