L'implantation missionnaire au Congo-RDC. De l'assistance à l'autonomie financière
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- Nombre de pages586
- PrésentationBroché
- Poids0.87 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 3,5 cm
- ISBN978-2-343-11833-8
- EAN9782343118338
- Date de parution25/04/2018
- CollectionEglises d'Afrique
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierIsidore Ndaywel è Nziem
Résumé
La dépendance financière de l'Eglise du Congo est un phénomène qui trouve son ancrage dans l'histoire de son implantation missionnaire sous l'administration coloniale belge vers la fin du XIXe siècle. Dès le début, cette Eglise a bénéficié des subventions et d'autres avantages fiscaux et fonciers importants émanant de l'Etat. En même temps, l'éducation des acteurs autochtones à l'autofinancement a été systématiquement négligée par les missionnaires entretenant ainsi une dépendance devenue plus large.
Depuis sa prise en main par la hiérarchie africaine, période correspondant à la décolonisation, cette Eglise n'arrive pas à se prendre en charge, obligée de se tourner constamment vers l'extérieur auprès des organismes occidentaux de financement pour assurer ses différents besoins. Or, ces ressources captées de l'extérieur s'amenuisent progressivement du fait des mutations sociales et du contexte économique mondial difficile.
Dans cet ouvrage, issu d'une thèse de doctorat, l'auteur mène une réflexion sur les logiques qui ont présidé à l'implantation de l'Eglise au Congo et propose quelques orientations socio-économiques et pastorales. Un changement radical des mentalités s'impose dans l'agir des acteurs institutionnels et individuels de cette Eglise. Longtemps habituée à l'assistance, elle doit repenser son action en opérant le passage d'une logique de consommation à la dynamique de production des richesses, en vue de son autonomie financière qui lui permettrait d'assurer sa mission évangélisatrice.
Mais l'atteinte de l'autofinancement exige une grande rigueur et une expertise dans le travail.
Depuis sa prise en main par la hiérarchie africaine, période correspondant à la décolonisation, cette Eglise n'arrive pas à se prendre en charge, obligée de se tourner constamment vers l'extérieur auprès des organismes occidentaux de financement pour assurer ses différents besoins. Or, ces ressources captées de l'extérieur s'amenuisent progressivement du fait des mutations sociales et du contexte économique mondial difficile.
Dans cet ouvrage, issu d'une thèse de doctorat, l'auteur mène une réflexion sur les logiques qui ont présidé à l'implantation de l'Eglise au Congo et propose quelques orientations socio-économiques et pastorales. Un changement radical des mentalités s'impose dans l'agir des acteurs institutionnels et individuels de cette Eglise. Longtemps habituée à l'assistance, elle doit repenser son action en opérant le passage d'une logique de consommation à la dynamique de production des richesses, en vue de son autonomie financière qui lui permettrait d'assurer sa mission évangélisatrice.
Mais l'atteinte de l'autofinancement exige une grande rigueur et une expertise dans le travail.
La dépendance financière de l'Eglise du Congo est un phénomène qui trouve son ancrage dans l'histoire de son implantation missionnaire sous l'administration coloniale belge vers la fin du XIXe siècle. Dès le début, cette Eglise a bénéficié des subventions et d'autres avantages fiscaux et fonciers importants émanant de l'Etat. En même temps, l'éducation des acteurs autochtones à l'autofinancement a été systématiquement négligée par les missionnaires entretenant ainsi une dépendance devenue plus large.
Depuis sa prise en main par la hiérarchie africaine, période correspondant à la décolonisation, cette Eglise n'arrive pas à se prendre en charge, obligée de se tourner constamment vers l'extérieur auprès des organismes occidentaux de financement pour assurer ses différents besoins. Or, ces ressources captées de l'extérieur s'amenuisent progressivement du fait des mutations sociales et du contexte économique mondial difficile.
Dans cet ouvrage, issu d'une thèse de doctorat, l'auteur mène une réflexion sur les logiques qui ont présidé à l'implantation de l'Eglise au Congo et propose quelques orientations socio-économiques et pastorales. Un changement radical des mentalités s'impose dans l'agir des acteurs institutionnels et individuels de cette Eglise. Longtemps habituée à l'assistance, elle doit repenser son action en opérant le passage d'une logique de consommation à la dynamique de production des richesses, en vue de son autonomie financière qui lui permettrait d'assurer sa mission évangélisatrice.
Mais l'atteinte de l'autofinancement exige une grande rigueur et une expertise dans le travail.
Depuis sa prise en main par la hiérarchie africaine, période correspondant à la décolonisation, cette Eglise n'arrive pas à se prendre en charge, obligée de se tourner constamment vers l'extérieur auprès des organismes occidentaux de financement pour assurer ses différents besoins. Or, ces ressources captées de l'extérieur s'amenuisent progressivement du fait des mutations sociales et du contexte économique mondial difficile.
Dans cet ouvrage, issu d'une thèse de doctorat, l'auteur mène une réflexion sur les logiques qui ont présidé à l'implantation de l'Eglise au Congo et propose quelques orientations socio-économiques et pastorales. Un changement radical des mentalités s'impose dans l'agir des acteurs institutionnels et individuels de cette Eglise. Longtemps habituée à l'assistance, elle doit repenser son action en opérant le passage d'une logique de consommation à la dynamique de production des richesses, en vue de son autonomie financière qui lui permettrait d'assurer sa mission évangélisatrice.
Mais l'atteinte de l'autofinancement exige une grande rigueur et une expertise dans le travail.