L'impersonnel. La personne, le verbe, la voix : du partage des fonctions et de leur sémantisme dans les structures impersonnelles

Par : Françoise Daviet-Taylor, Didier Bottineau

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  • Nombre de pages345
  • PrésentationBroché
  • Poids0.47 kg
  • Dimensions15,5 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-7535-1111-8
  • EAN9782753511118
  • Date de parution24/06/2010
  • CollectionRivages linguistiques
  • ÉditeurPU Rennes

Résumé

Il n'y a pas photo, ça manque de grottes en Bretagne ; Es wurde getanzt (allemand " il fut dansé " : " On a dansé "), Krampouezh zo ! (breton " Il y a des crêpes ! "), Iluntzen du (basque " Ça s'assombrit ", " Le soir tombe "), késöre jàr (az idö) (hongrois " Tard marche (le temps) " : " il se fait tard "). " Si ça continue, il faudra bien que ça cesse ! " Les structures impersonnelles ont été largement étudiées dans la littérature linguistique ; elles continuent pourtant de soulever maintes questions descriptives et théoriques, pour le français comme pour les langues en général.
Le présent ouvrage se propose de les expliciter en articulant les énoncés impersonnels (formes verbales, formes du sujet s'il en est) aux questions plus intégrantes de forme et de sens qui les contextualisent : l'aspect (rôle de l'impersonnel dans la mise en scène d'un événement), la voix (identification et mise en scène de participants), la subjectivité (mise en perspective de points de vue, modalité), l'intersubjectivité (inscription du sens par l'impersonnel dans les rapports dialogiques et dialogaux), la textualité (l'inscription dans la cohésion du discours), l'ontologie (l'impersonnel comme marqueur d'événements sans agent repérable).
À la suite d'études générales cadrant le problème sous ses différentes facettes, on trouvera une série d'études particulières consacrées à la spécificité de cette articulation dans des langues ou groupes de langues typologiquement diversifiés (romanes, germaniques, celtiques, non Indo-Européennes), vivantes ou anciennes.
Il n'y a pas photo, ça manque de grottes en Bretagne ; Es wurde getanzt (allemand " il fut dansé " : " On a dansé "), Krampouezh zo ! (breton " Il y a des crêpes ! "), Iluntzen du (basque " Ça s'assombrit ", " Le soir tombe "), késöre jàr (az idö) (hongrois " Tard marche (le temps) " : " il se fait tard "). " Si ça continue, il faudra bien que ça cesse ! " Les structures impersonnelles ont été largement étudiées dans la littérature linguistique ; elles continuent pourtant de soulever maintes questions descriptives et théoriques, pour le français comme pour les langues en général.
Le présent ouvrage se propose de les expliciter en articulant les énoncés impersonnels (formes verbales, formes du sujet s'il en est) aux questions plus intégrantes de forme et de sens qui les contextualisent : l'aspect (rôle de l'impersonnel dans la mise en scène d'un événement), la voix (identification et mise en scène de participants), la subjectivité (mise en perspective de points de vue, modalité), l'intersubjectivité (inscription du sens par l'impersonnel dans les rapports dialogiques et dialogaux), la textualité (l'inscription dans la cohésion du discours), l'ontologie (l'impersonnel comme marqueur d'événements sans agent repérable).
À la suite d'études générales cadrant le problème sous ses différentes facettes, on trouvera une série d'études particulières consacrées à la spécificité de cette articulation dans des langues ou groupes de langues typologiquement diversifiés (romanes, germaniques, celtiques, non Indo-Européennes), vivantes ou anciennes.