L'immense solitude. Avec Friedrich Nietzsche et Cesare Pavese, orphelins sous le ciel de Turin

Par : Frédéric Pajak

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  • Nombre de pages317
  • PrésentationBroché
  • Poids1.019 kg
  • Dimensions17,7 cm × 23,5 cm × 2,9 cm
  • ISBN978-2-88250-258-2
  • EAN9782882502582
  • Date de parution01/09/2011
  • ÉditeurNoir Sur Blanc (Les Editions)

Résumé

A première vue, Friedrich Nietzsche et Cesare Pavese n'ont rien en commun. Et pourtant : tous deux sont orphelins de père, tous deux ont grandi dans un entourage exclusivement féminin, tous deux n'ont jamais su se faire aimer d'une femme, tous deux ont eu une vie brève, solitaire et émouvante. Et puis, tous deux ont été inspirés par Turin, et son atmosphère terriblement "psychique". De cette ville, qui fut un temps la capitale de l'Italie, Nietzsche n'a dit que l'abord exaltant, aristocratique et baroque, tandis que Pavese en a recraché toute la tristesse, avec ses quartiers industriels, ses usines qui noircissent le ciel, ses ouvriers exténués.
C'est à Turin que Nietzsche perd la raison : il a quarante-quatre ans. Et c'est à Turin que Pavese se suicide dans une chambre d'hôtel : il a quarante-deux ans. Le philosophe allemand meurt le 25 août 1900, l'écrivain piémontais un demi-siècle plus tard, à un jour près, le 26 août 1950. En cherchant des rapprochements entre ces deux artistes, ces deux jusqu'au-boutistes de la mélancolie, l'auteur se glisse dans leur drame, dans les blessures inguérissables de leur enfance.
Il fait revivre les événements tragiques qui les ont conduits l'un à la folie, l'autre au suicide. Ce livre, s'il respire la gravité, est d'abord une rêverie, une suite de détours et de coïncidences. Les murs de Turin y transpirent. Ils parlent. Il fallait bien près de trois cents dessins pour faire entendre ces voix.
A première vue, Friedrich Nietzsche et Cesare Pavese n'ont rien en commun. Et pourtant : tous deux sont orphelins de père, tous deux ont grandi dans un entourage exclusivement féminin, tous deux n'ont jamais su se faire aimer d'une femme, tous deux ont eu une vie brève, solitaire et émouvante. Et puis, tous deux ont été inspirés par Turin, et son atmosphère terriblement "psychique". De cette ville, qui fut un temps la capitale de l'Italie, Nietzsche n'a dit que l'abord exaltant, aristocratique et baroque, tandis que Pavese en a recraché toute la tristesse, avec ses quartiers industriels, ses usines qui noircissent le ciel, ses ouvriers exténués.
C'est à Turin que Nietzsche perd la raison : il a quarante-quatre ans. Et c'est à Turin que Pavese se suicide dans une chambre d'hôtel : il a quarante-deux ans. Le philosophe allemand meurt le 25 août 1900, l'écrivain piémontais un demi-siècle plus tard, à un jour près, le 26 août 1950. En cherchant des rapprochements entre ces deux artistes, ces deux jusqu'au-boutistes de la mélancolie, l'auteur se glisse dans leur drame, dans les blessures inguérissables de leur enfance.
Il fait revivre les événements tragiques qui les ont conduits l'un à la folie, l'autre au suicide. Ce livre, s'il respire la gravité, est d'abord une rêverie, une suite de détours et de coïncidences. Les murs de Turin y transpirent. Ils parlent. Il fallait bien près de trois cents dessins pour faire entendre ces voix.
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