L'imaginaire. Jean-Paul Sartre

Par : Philippe Cabestan

Formats :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages72
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.086 kg
  • Dimensions14,5 cm × 19,0 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-340-03879-0
  • EAN9782340038790
  • Date de parution10/11/2020
  • CollectionPhilo-oeuvres
  • ÉditeurEllipses

Résumé

En 1936 Sartre déclare : "en ce qui concerne le problème de l'image, Husserl ne se contente pas de nous fournir une méthode : il y a dans les Ideen les bases d'une théorie des images entièrement neuve". Quatre ans plus tard L'Imaginaire nous offre une description phénoménologique de ce que Sartre appelle désormais la conscience imageante. L'imaginaire renvoie alors à l'une des grandes fonctions de la conscience, qui enveloppe aussi bien le rêve que l'hallucination, la simple représentation d'un centaure que la contemplation d'une oeuvre d'art.
La conscience imageante ne se confond donc plus avec cette simple faculté dont l'étude relevait de la seule psychologie, et c'est à l'être même de la subjectivité humaine que nous conduit l'analyse sartrienne de L'Imaginaire, dont la fonction symbolique est inséparable de la liberté.
En 1936 Sartre déclare : "en ce qui concerne le problème de l'image, Husserl ne se contente pas de nous fournir une méthode : il y a dans les Ideen les bases d'une théorie des images entièrement neuve". Quatre ans plus tard L'Imaginaire nous offre une description phénoménologique de ce que Sartre appelle désormais la conscience imageante. L'imaginaire renvoie alors à l'une des grandes fonctions de la conscience, qui enveloppe aussi bien le rêve que l'hallucination, la simple représentation d'un centaure que la contemplation d'une oeuvre d'art.
La conscience imageante ne se confond donc plus avec cette simple faculté dont l'étude relevait de la seule psychologie, et c'est à l'être même de la subjectivité humaine que nous conduit l'analyse sartrienne de L'Imaginaire, dont la fonction symbolique est inséparable de la liberté.