C'est à sa sortie de prison que l'ex-inspectrice Sarah Geringën apprend la mort de son père. Lorsqu'elle découvre les conditions pour le moins étranges de son décès sa décision est prise: elle va tout faire pour être mise sur l'affaire, du moins officieusement. Les découvertes qu'elle fera révéleront un homme aux blessures profondes, au passé traumatisant et gardien de lourds secrets familiaux.
Ce troisième opus des enquêtes de Sarah (il n'est pas obligatoirement nécessaire d'avoir lu les deux premiers titres car le roman débute avec un résumé des précédentes histoires) est sans aucun doute le plus torturé, le plus intimiste mais aussi le plus abouti de la saga. Jouissant toujours d'un rythme ultra-tendu mis en valeur par des chapitres courts, de rebondissements parfaitement exécutés, et d'une écriture fluide et addictive, ce troisième volet possède quelque chose de plus... viscéral. Les parties historiques ou scientifiques (sur l’épigénétique) sont aussi passionnantes que troublantes, les décors sont variés, et on retrouve une héroïne diminuée physiquement et mentalement (donc aussi plus intéressante parce que vulnérable). Vivement la suite.
C'est à sa sortie de prison que l'ex-inspectrice Sarah Geringën apprend la mort de son père. Lorsqu'elle découvre les conditions pour le moins étranges de son décès sa décision est prise: elle va tout faire pour être mise sur l'affaire, du moins officieusement. Les découvertes qu'elle fera révéleront un homme aux blessures profondes, au passé traumatisant et gardien de lourds secrets familiaux.
Ce troisième opus des enquêtes de Sarah (il n'est pas obligatoirement nécessaire d'avoir lu les deux premiers titres car le roman débute avec un résumé des précédentes histoires) est sans aucun doute le plus torturé, le plus intimiste mais aussi le plus abouti de la saga. Jouissant toujours d'un rythme ultra-tendu mis en valeur par des chapitres courts, de rebondissements parfaitement exécutés, et d'une écriture fluide et addictive, ce troisième volet possède quelque chose de plus... viscéral. Les parties historiques ou scientifiques (sur l’épigénétique) sont aussi passionnantes que troublantes, les décors sont variés, et on retrouve une héroïne diminuée physiquement et mentalement (donc aussi plus intéressante parce que vulnérable). Vivement la suite.