Coup de coeur
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  • Nombre de pages424
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions11,1 cm × 17,6 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-330-00133-9
  • EAN9782330001339
  • Date de parution02/11/2011
  • CollectionBabel noir
  • ÉditeurActes Sud
  • TraducteurJean-René Dastugue

Résumé

Marqué par la mort récente de son fils unique, l'inspecteur Fin Macleod est envoyé sur son île natale de Lewis car un meurtre vient d'y être commis selon la même mise en scène que celui sur lequel il enquête à Edimbourg. La tempétueuse Ile de Lewis, au Nord de l'Ecosse, semble sortie d'un autre temps : on se chauffe à la tourbe, on pratique le sabbat chrétien, on parle la langue gaélique. D'autres traditions particulières y perdurent, comme cette expédition organisée chaque été, qui conduit un groupe d'hommes sur l'îlot rocheux inhospitalier d'An Sgeir où ils tuent des milliers d'oiseaux nicheurs destinés à la consommation.
Dix-huit ans auparavant, Fin a participé à ce périlleux voyage initiatique. Il a ensuite quitté Vile et n'y est jamais revenu. Retourner là-bas, c'est retrouver un ami d'enfance, un premier amour, quelques camarades d'école de sinistre mémoire ; c'est surtout prendre le risque de laisser surgir les souvenirs, de découvrir à quel point on n'a rien oublié... Un roman sombre et tourmenté, au suspense inexorable, plongé dans une atmosphère brumeuse qui doit autant aux décors naturels qu'à l'âme des personnages.
Marqué par la mort récente de son fils unique, l'inspecteur Fin Macleod est envoyé sur son île natale de Lewis car un meurtre vient d'y être commis selon la même mise en scène que celui sur lequel il enquête à Edimbourg. La tempétueuse Ile de Lewis, au Nord de l'Ecosse, semble sortie d'un autre temps : on se chauffe à la tourbe, on pratique le sabbat chrétien, on parle la langue gaélique. D'autres traditions particulières y perdurent, comme cette expédition organisée chaque été, qui conduit un groupe d'hommes sur l'îlot rocheux inhospitalier d'An Sgeir où ils tuent des milliers d'oiseaux nicheurs destinés à la consommation.
Dix-huit ans auparavant, Fin a participé à ce périlleux voyage initiatique. Il a ensuite quitté Vile et n'y est jamais revenu. Retourner là-bas, c'est retrouver un ami d'enfance, un premier amour, quelques camarades d'école de sinistre mémoire ; c'est surtout prendre le risque de laisser surgir les souvenirs, de découvrir à quel point on n'a rien oublié... Un roman sombre et tourmenté, au suspense inexorable, plongé dans une atmosphère brumeuse qui doit autant aux décors naturels qu'à l'âme des personnages.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Thomas C.Decitre Ecully
5/5
Lisez Peter May : partez en Ecosse !
Le premier tome d'une saga d'anthologie ! L’Écosse : ses falaises, son vent, sa pluie, ses îles, son mythe... L'enquête est un prétexte au voyage, une invitation au voyage : c'est un roman dépaysant. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce pays magnifique, voilà la meilleure porte d'entrée : de quoi vous donner l'eau à la bouche... et de la suite dans les idées, pour les prochaines vacances !
Le premier tome d'une saga d'anthologie ! L’Écosse : ses falaises, son vent, sa pluie, ses îles, son mythe... L'enquête est un prétexte au voyage, une invitation au voyage : c'est un roman dépaysant. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce pays magnifique, voilà la meilleure porte d'entrée : de quoi vous donner l'eau à la bouche... et de la suite dans les idées, pour les prochaines vacances !
Anne-Laure D.Decitre Ecully
5/5
Retour vers le passé
Après avoir patienté des années dans ma "pile à lire", L'île des Chasseurs d'oiseaux a enfin trouvé le chemin de mon sac!! Et m'a offert une balade écossaise que je ne suis pas près d'oublier, avec le vent cinglant dans ma figure et le bruit de la mer déchaînée dans mes oreilles! J'ai adoré ce polar brut et glacial, à l'intrigue qui bascule sans cesse entre passé et présent, entre l'intime et le professionnel, pleine de suspense et de rebondissements. Le personnage de Fin est très attachant, avec ses fêlures d'enfance et d'adulte, ses réticences à revenir sur cette île qui l'a vu grandir et qu'il a quitté sans regrets!! C'est aussi l'occasion d'une belle découverte de l'Ecosse, de ses îles et de leurs traditions ancestrales (et violentes!!)... Passionnant!!
Après avoir patienté des années dans ma "pile à lire", L'île des Chasseurs d'oiseaux a enfin trouvé le chemin de mon sac!! Et m'a offert une balade écossaise que je ne suis pas près d'oublier, avec le vent cinglant dans ma figure et le bruit de la mer déchaînée dans mes oreilles! J'ai adoré ce polar brut et glacial, à l'intrigue qui bascule sans cesse entre passé et présent, entre l'intime et le professionnel, pleine de suspense et de rebondissements. Le personnage de Fin est très attachant, avec ses fêlures d'enfance et d'adulte, ses réticences à revenir sur cette île qui l'a vu grandir et qu'il a quitté sans regrets!! C'est aussi l'occasion d'une belle découverte de l'Ecosse, de ses îles et de leurs traditions ancestrales (et violentes!!)... Passionnant!!
  • famille
  • Enquête
  • île
  • premier amour
  • Ecosse
  • traditions
  • gaëlique
Hugo - 2Decitre Annecy
5/5
Polar écossais
Le premier, et sans doute le meilleur tome de la trilogie de l'écossais Peter May. Un meurtre ayant été commis sur l’île de Lewis, l'enquêteur Fin MacLeod est envoyé sur place, notamment parce qu'il est lui-même originaire de la région. Mais l'enquête se complique rapidement car dans ces terres très croyantes, on parle peu et, visiblement, personne ne regrette la mort de la victime. MacLeod devra aussi et surtout faire face à un passé qu'il avait choisi de fuir il y a une vingtaine d'années, coincé sur cet îlot qui confine immanquablement au huis-clos bien angoissant. Alternant la narration entre passé et présent, lenteur et dynamisme, Peter May parvient à immerger le lecteur curieux dans les recoins les plus sombres de l'Ecosse grâce, entre autre, à une écriture puissante et une ambiance très réussie.
Le premier, et sans doute le meilleur tome de la trilogie de l'écossais Peter May. Un meurtre ayant été commis sur l’île de Lewis, l'enquêteur Fin MacLeod est envoyé sur place, notamment parce qu'il est lui-même originaire de la région. Mais l'enquête se complique rapidement car dans ces terres très croyantes, on parle peu et, visiblement, personne ne regrette la mort de la victime. MacLeod devra aussi et surtout faire face à un passé qu'il avait choisi de fuir il y a une vingtaine d'années, coincé sur cet îlot qui confine immanquablement au huis-clos bien angoissant. Alternant la narration entre passé et présent, lenteur et dynamisme, Peter May parvient à immerger le lecteur curieux dans les recoins les plus sombres de l'Ecosse grâce, entre autre, à une écriture puissante et une ambiance très réussie.
  • Ecosse
  • fin mcleod
  • ile de lewis

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.4/5
sur 21 notes dont 7 avis lecteurs
Enquête au bout de l'Ecosse
L'île de Lewis, au nord de l'Ecosse, est minée par l'alcool et l'ennui. Quand l'inspecteur Mcleod y est envoyé pour enquêter sur un meurtre, il sait qu'il va aussi fouiller dans son passé. Car il est né sur cette île, et tous les suspects qu'il interroge sont des gens qu'il connait... L'Ile des Chasseurs d'Oiseaux vous mène par le bout du nez, au bout du monde ! Un polar atmosphérique inoubliable ! Guillaume
L'île de Lewis, au nord de l'Ecosse, est minée par l'alcool et l'ennui. Quand l'inspecteur Mcleod y est envoyé pour enquêter sur un meurtre, il sait qu'il va aussi fouiller dans son passé. Car il est né sur cette île, et tous les suspects qu'il interroge sont des gens qu'il connait... L'Ile des Chasseurs d'Oiseaux vous mène par le bout du nez, au bout du monde ! Un polar atmosphérique inoubliable ! Guillaume
  • Enquête
  • passé
  • Ecosse
Ambiance sombre, histoire intéressante mais quelques longueurs
Voilà une saga que plusieurs personnes m’avaient recommandée, alors que j’étais à la recherche de bons romans policiers. Un auteur dont je n’avais jamais entendu parler et qui semblait pourtant être un incontournable pour beaucoup. Malgré quelques longueurs, j’ai tout de suite été emportée sur cette île sombre de l’Écosse aux côtés de Fin. De prime abord, l’histoire est tout ce qu’il y a de plus traditionnel : un meurtre oblige Fin à retourner dans son village d’enfance pour mener l’enquête. Mais très vite, l’histoire du personnage prend le pas sur l’enquête, qu’on finit presque par perdre de vue. Fin est bien sûr à la recherche du coupable, mais il va surtout nous raconter son enfance sur cette île. Ces histoires dans l’histoire sont émouvantes, amusantes ou intrigantes ; j’ai adoré découvrir ces flash-back qui mettent en scène un petit Fin de cinq ans qui grandit au fil des pages. Notre héros va également retrouver tout ce petit monde qu’il avait quitté et c’est là que les révélations vont commencer à tomber… Finalement, on comprend vite que l’histoire et l’enquête sont presque indissociables l’une de l’autre. Le principal reproche que j’ai à faire concerne les longueurs : certains passages ou descriptions m’ont semblé interminables. Alors parfois le temps se fait long, mais à d’autres moments, on ne veut plus du tout reposer le livre, ce qui traduit une certaine inconstance dans la tension du roman. L’atmosphère prend parfois plus de place que l’intrigue et le roman s’essouffle. Une fois n’est pas coutume, la fin ne m’a pas déplu et je ne me doutais pas de l’identité du coupable, bien que la chute ne soit pas renversante et que le suspense n’aie jamais atteint son paroxysme. L’intrigue n’est pas haletante, mais il s’agit d’un bon roman noir avec une ambiance particulière, qui fait parfois penser à un huis clos, coincés que nous sommes sur cette petite île aux mœurs et religions dépassées. Pour moi, c’est une très agréable découverte, dans un coin du monde que je n’avais encore jamais rencontré en littérature, avec ses rivages brumeux et ses prénoms gaéliques.
Voilà une saga que plusieurs personnes m’avaient recommandée, alors que j’étais à la recherche de bons romans policiers. Un auteur dont je n’avais jamais entendu parler et qui semblait pourtant être un incontournable pour beaucoup. Malgré quelques longueurs, j’ai tout de suite été emportée sur cette île sombre de l’Écosse aux côtés de Fin. De prime abord, l’histoire est tout ce qu’il y a de plus traditionnel : un meurtre oblige Fin à retourner dans son village d’enfance pour mener l’enquête. Mais très vite, l’histoire du personnage prend le pas sur l’enquête, qu’on finit presque par perdre de vue. Fin est bien sûr à la recherche du coupable, mais il va surtout nous raconter son enfance sur cette île. Ces histoires dans l’histoire sont émouvantes, amusantes ou intrigantes ; j’ai adoré découvrir ces flash-back qui mettent en scène un petit Fin de cinq ans qui grandit au fil des pages. Notre héros va également retrouver tout ce petit monde qu’il avait quitté et c’est là que les révélations vont commencer à tomber… Finalement, on comprend vite que l’histoire et l’enquête sont presque indissociables l’une de l’autre. Le principal reproche que j’ai à faire concerne les longueurs : certains passages ou descriptions m’ont semblé interminables. Alors parfois le temps se fait long, mais à d’autres moments, on ne veut plus du tout reposer le livre, ce qui traduit une certaine inconstance dans la tension du roman. L’atmosphère prend parfois plus de place que l’intrigue et le roman s’essouffle. Une fois n’est pas coutume, la fin ne m’a pas déplu et je ne me doutais pas de l’identité du coupable, bien que la chute ne soit pas renversante et que le suspense n’aie jamais atteint son paroxysme. L’intrigue n’est pas haletante, mais il s’agit d’un bon roman noir avec une ambiance particulière, qui fait parfois penser à un huis clos, coincés que nous sommes sur cette petite île aux mœurs et religions dépassées. Pour moi, c’est une très agréable découverte, dans un coin du monde que je n’avais encore jamais rencontré en littérature, avec ses rivages brumeux et ses prénoms gaéliques.
The Blackhouse
On the Isle of Lewis, in Scotland, a man is found hanging in a boatshed. When it turns out that it was not suicide and that a connection is made with another murder committed in Edinburgh a few months earlier, Fin Macleod is sent to investigate. His superiors have decided that it is the right moment for him to go back to work after the tragedy that affected his life. Since he grew up on Lewis, his background can only be of help to the investigation... apart from the fact that Fin took the fist opportunity to leave the island and not return... After a rapid, short beginning with a vivid description of the crime scene, the pace slows down to enable the reader to discover the surroundings. Peter May draws us into the strange atmosphere of Lewis Island, its strong traditions – especially that of gannet hunting – and way of life... It is Scotland, but life there is somehow completely different from life on the mainland; progress is slow and there are few opportunities for the inhabitants. It is a strange feeling that we can experience in the first chapters already. There seem to be a clear difference between the people of the island and those of mainland Scotland; between the people who have been living their whole lives on Lewis and those who, like Fin, left and did not come back... As the investigation goes on, we learn more about Fin’s childhood. It was hard to leave, but it is even harder to forget. Sometimes, it is a place which brings back his memories; sometimes it is a person he knows... One chapter tells us about the past, the next one about the present. This makes the development of the plot extremely interesting and balanced, and the shift of tenses in the writing helps us understand the chronology correctly. Peter May’s style is nice and easy to read. He changes from poetic descriptions to detailed scenes of action, keeping a good amount of suspense until the very end, when everything finally comes together. Quickly, we grow attached to the characters or, on the contrary, start to hate them. Many of them are described in the past as well as in the present, which makes it all the more interesting as we can see how they have evolved through the years. Their personality is built little by little and we are invited to make our own assumptions of who the murderer is... which is not an easy task. The plot itself first seems easy, but it soon turns out to be rather complex and full of unexpected twists and turns. This seemingly stereotypical and simple society will probably surprise most of the readers by its silence and secrets. Many might find the end a little confusing at first sight, because everything suddenly happens so quickly; it is difficult to realise that the story is over – already. The Blackhouse is an amazing crime book which kept me enthralled all through the pages. I liked the characters, I liked the – sometimes dark – Scottish scenery, I liked the plot and, above all, I liked the atmosphere which accompanies the characters through the plot... I am looking forward to reading the next two books of the Fin Macleod’s series, The Lewis Man and The chessmen.
On the Isle of Lewis, in Scotland, a man is found hanging in a boatshed. When it turns out that it was not suicide and that a connection is made with another murder committed in Edinburgh a few months earlier, Fin Macleod is sent to investigate. His superiors have decided that it is the right moment for him to go back to work after the tragedy that affected his life. Since he grew up on Lewis, his background can only be of help to the investigation... apart from the fact that Fin took the fist opportunity to leave the island and not return... After a rapid, short beginning with a vivid description of the crime scene, the pace slows down to enable the reader to discover the surroundings. Peter May draws us into the strange atmosphere of Lewis Island, its strong traditions – especially that of gannet hunting – and way of life... It is Scotland, but life there is somehow completely different from life on the mainland; progress is slow and there are few opportunities for the inhabitants. It is a strange feeling that we can experience in the first chapters already. There seem to be a clear difference between the people of the island and those of mainland Scotland; between the people who have been living their whole lives on Lewis and those who, like Fin, left and did not come back... As the investigation goes on, we learn more about Fin’s childhood. It was hard to leave, but it is even harder to forget. Sometimes, it is a place which brings back his memories; sometimes it is a person he knows... One chapter tells us about the past, the next one about the present. This makes the development of the plot extremely interesting and balanced, and the shift of tenses in the writing helps us understand the chronology correctly. Peter May’s style is nice and easy to read. He changes from poetic descriptions to detailed scenes of action, keeping a good amount of suspense until the very end, when everything finally comes together. Quickly, we grow attached to the characters or, on the contrary, start to hate them. Many of them are described in the past as well as in the present, which makes it all the more interesting as we can see how they have evolved through the years. Their personality is built little by little and we are invited to make our own assumptions of who the murderer is... which is not an easy task. The plot itself first seems easy, but it soon turns out to be rather complex and full of unexpected twists and turns. This seemingly stereotypical and simple society will probably surprise most of the readers by its silence and secrets. Many might find the end a little confusing at first sight, because everything suddenly happens so quickly; it is difficult to realise that the story is over – already. The Blackhouse is an amazing crime book which kept me enthralled all through the pages. I liked the characters, I liked the – sometimes dark – Scottish scenery, I liked the plot and, above all, I liked the atmosphere which accompanies the characters through the plot... I am looking forward to reading the next two books of the Fin Macleod’s series, The Lewis Man and The chessmen.
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