L'honneur perdu de François 1er. Pavie, 1525

Par : Jean-Marie Le Gall

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  • Nombre de pages384
  • PrésentationBroché
  • Poids0.562 kg
  • Dimensions15,7 cm × 23,6 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-228-91208-2
  • EAN9782228912082
  • Date de parution18/02/2015
  • CollectionBibliothèque historique
  • ÉditeurPayot

Résumé

Au petit matin du 24 février 1525, après quatre mois de siège devant Pavie, François Ier s'élançait sur le champ de bataille, persuadé de sa victoire : "C'est maintenant que je suis duc de Milan !" Midi n'avait pas sonné qu'il se rendait au représentant de l'empereur Charles Quint, déclarant : "Tout est perdu, fors l'honneur et la vie." Retenu prisonnier en Espagne jusqu'au 17 mars 1526, il ne recouvra la liberté qu'après avoir laissé ses deux jeunes fils en otage et promis de renoncer à une partie de son royaume.
Loin de n'être qu'une cinglante défaite pour la France, qui signe la fin de ses prétentions sur l'Italie, Pavie fut cette bataille où se joua pour deux siècles, dans une Europe secouée par de violentes révoltes, l'hégémonie des deux grandes puissances. Et si le Très Chrétien y perdit son honneur, c'est en se parjurant au lendemain du déshonorant traité de Madrid (1526). Un brillant essai d'imaginaire politique qui n'est pas sans rappeler le Dimanche de Bouvines de Georges Duby.
Au petit matin du 24 février 1525, après quatre mois de siège devant Pavie, François Ier s'élançait sur le champ de bataille, persuadé de sa victoire : "C'est maintenant que je suis duc de Milan !" Midi n'avait pas sonné qu'il se rendait au représentant de l'empereur Charles Quint, déclarant : "Tout est perdu, fors l'honneur et la vie." Retenu prisonnier en Espagne jusqu'au 17 mars 1526, il ne recouvra la liberté qu'après avoir laissé ses deux jeunes fils en otage et promis de renoncer à une partie de son royaume.
Loin de n'être qu'une cinglante défaite pour la France, qui signe la fin de ses prétentions sur l'Italie, Pavie fut cette bataille où se joua pour deux siècles, dans une Europe secouée par de violentes révoltes, l'hégémonie des deux grandes puissances. Et si le Très Chrétien y perdit son honneur, c'est en se parjurant au lendemain du déshonorant traité de Madrid (1526). Un brillant essai d'imaginaire politique qui n'est pas sans rappeler le Dimanche de Bouvines de Georges Duby.
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