L'homme qui regardait la montagne

Par : Massimo Calvi
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.166 kg
  • Dimensions12,4 cm × 17,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-227-50185-0
  • EAN9782227501850
  • Date de parution09/10/2024
  • ÉditeurBayard
  • TraducteurChéli Rioboo

Résumé

Un homme à la fin de ses jours choisit de vivre le temps qui lui reste auprès d'une montagne. Que cherche l'homme ? Et que représente cette montagne ? En douze jours (plus un), le récit prend la forme d'un voyage intérieur subtil et émouvant, un retour aux sources nourries des éléments constitutifs de la montagne : l'eau, l'air, le feu, la pierre, le bois, l'herbe. La montagne est alors l'occasion de parler de la mère, du père, de la foi, de l'amour, des enfants, du désir, du rapport à la nature...
Un texte puissant et poétique au plus près de ce qui fait la substance d'une vie. "Chaque chapitre s'ouvre et se referme sur les flancs d'une seule page, que l'on gravit puis dévale, avec l'ivresse de la satiété atteinte. Charles Juliet n'est plus, mais on ne peut s'empêcher d'imaginer la connivence qu'il aurait sentie avec Massimo Calvi, dont l'écriture frappe par sa netteté lumineuse comme par son infinie modestie".
Marine Landrot, Télérama
Un homme à la fin de ses jours choisit de vivre le temps qui lui reste auprès d'une montagne. Que cherche l'homme ? Et que représente cette montagne ? En douze jours (plus un), le récit prend la forme d'un voyage intérieur subtil et émouvant, un retour aux sources nourries des éléments constitutifs de la montagne : l'eau, l'air, le feu, la pierre, le bois, l'herbe. La montagne est alors l'occasion de parler de la mère, du père, de la foi, de l'amour, des enfants, du désir, du rapport à la nature...
Un texte puissant et poétique au plus près de ce qui fait la substance d'une vie. "Chaque chapitre s'ouvre et se referme sur les flancs d'une seule page, que l'on gravit puis dévale, avec l'ivresse de la satiété atteinte. Charles Juliet n'est plus, mais on ne peut s'empêcher d'imaginer la connivence qu'il aurait sentie avec Massimo Calvi, dont l'écriture frappe par sa netteté lumineuse comme par son infinie modestie".
Marine Landrot, Télérama

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
fabien b. - 1Decitre Grenoble
4/5
L'homme qui regardait la montagne
On sort de ce texte le cœur ému, plus léger peut-être, comme en apesanteur. Fait de fragments suspendus de vie, d’expériences et de souvenirs, il s’en dégage un merveilleux sentiment de sérénité. Éloge de la montagne dans ce qu’elle a de force, de vibrations et de ce qu’elle est pour nous qui y vivons au pied, sa présence, sa majesté, ses dangers. La montagne comme un recueil d’histoires. Littérature de l’homme apaisé malgré la souffrance du corps, littérature forgée dans la poésie des épreuves et de la beauté des cimes. Une bénédiction !
On sort de ce texte le cœur ému, plus léger peut-être, comme en apesanteur. Fait de fragments suspendus de vie, d’expériences et de souvenirs, il s’en dégage un merveilleux sentiment de sérénité. Éloge de la montagne dans ce qu’elle a de force, de vibrations et de ce qu’elle est pour nous qui y vivons au pied, sa présence, sa majesté, ses dangers. La montagne comme un recueil d’histoires. Littérature de l’homme apaisé malgré la souffrance du corps, littérature forgée dans la poésie des épreuves et de la beauté des cimes. Une bénédiction !