Artiste peintre, musicien et poète français. Graveur, diplômé de l'École supérieure des arts et des industries graphiques (l'École Estienne) à Paris, Emmanuel Dilhac fut l'élève d'Albert Flocon ancien scénographiste du Bauhaus, de Jean Cluseau-Lanauve ainsi que de René Cottet. Il s'engage dans des démarches artistiques variées dès 1958, explore différentes techniques. Dans les 1970 à 1999, parallèlement, Emmanuel Dilhac sera graveur, animateur culturel et professeur en arts plastiques.
L'Homme qui fait chanter les pierres
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- Nombre de pages77
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.6 kg
- Dimensions29,7 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-8103-0330-4
- EAN9782810303304
- Date de parution23/03/2023
- ÉditeurCosmogone (Editions du)
- PréfacierJean-Michel Geneste
Résumé
Emmanuel Dilhac, après avoir répertorié maintes possibilités de gestes induits selon la matière ou la forme, fait en sorte que les objets sonores et lui s'apprivoisent et renouent pour sonner au mieux de leurs qualités. En une quête passionnée, le musicien s'initie au jeu de la rencontre avec l'élément naturel. Il remarque que ses gestuelles et techniques manuelles, sont identiques aux phénomènes d'actions et de mouvements utilisés encore aujourd'hui par "Dame Nature" , correspondant ainsi aux synchronisme et mimétisme établis au cours des temps ou encore à une ordonnance selon des énergies dont nous serions des échos.
Artiste exigeant, il tente de se rapprocher d'un "Tout" organisé, de louer et de sublimer en quelque sorte, là où magie et mystère se confondent... Selon le poète Victor Hugo : "Il n'est pas de bruit où Dieu n'ait pas mis le verbe" . "Le corps humain n'est-il pas lui aussi composé de matières lisses agissant sur une forte charpente, capables de produire elles aussi des tonalités, des sons et même des langages ? Notre ossature n'est-elle pas de pierre ? Nos cheveux n'ont-ils pas des allures d'algues, nos yeux ne sont-ils pas semblables aux anémones ? Nos mains, nos pieds ne sont-ils pas comme autant de racines ? Nos bronches et nos veines comme des ramures et des branchages, notre salive et notre sang ne sont-ils pas issus d'un même flot ? "D'autres langages" ne peuvent-ils pas tous être identifiés à des marées, à des vagues...
Dans la Création, le patrimoine génétique ne serait-il pas le même pour toutes les matières ? " Ce long travail d'observations et d'expériences, il le poursuit parallèlement dans son oeuvre picturale ; il lui apparaît qu'il serait possible de dégager un alphabet universel et fondamental des formes comme des sons.
Artiste exigeant, il tente de se rapprocher d'un "Tout" organisé, de louer et de sublimer en quelque sorte, là où magie et mystère se confondent... Selon le poète Victor Hugo : "Il n'est pas de bruit où Dieu n'ait pas mis le verbe" . "Le corps humain n'est-il pas lui aussi composé de matières lisses agissant sur une forte charpente, capables de produire elles aussi des tonalités, des sons et même des langages ? Notre ossature n'est-elle pas de pierre ? Nos cheveux n'ont-ils pas des allures d'algues, nos yeux ne sont-ils pas semblables aux anémones ? Nos mains, nos pieds ne sont-ils pas comme autant de racines ? Nos bronches et nos veines comme des ramures et des branchages, notre salive et notre sang ne sont-ils pas issus d'un même flot ? "D'autres langages" ne peuvent-ils pas tous être identifiés à des marées, à des vagues...
Dans la Création, le patrimoine génétique ne serait-il pas le même pour toutes les matières ? " Ce long travail d'observations et d'expériences, il le poursuit parallèlement dans son oeuvre picturale ; il lui apparaît qu'il serait possible de dégager un alphabet universel et fondamental des formes comme des sons.
Emmanuel Dilhac, après avoir répertorié maintes possibilités de gestes induits selon la matière ou la forme, fait en sorte que les objets sonores et lui s'apprivoisent et renouent pour sonner au mieux de leurs qualités. En une quête passionnée, le musicien s'initie au jeu de la rencontre avec l'élément naturel. Il remarque que ses gestuelles et techniques manuelles, sont identiques aux phénomènes d'actions et de mouvements utilisés encore aujourd'hui par "Dame Nature" , correspondant ainsi aux synchronisme et mimétisme établis au cours des temps ou encore à une ordonnance selon des énergies dont nous serions des échos.
Artiste exigeant, il tente de se rapprocher d'un "Tout" organisé, de louer et de sublimer en quelque sorte, là où magie et mystère se confondent... Selon le poète Victor Hugo : "Il n'est pas de bruit où Dieu n'ait pas mis le verbe" . "Le corps humain n'est-il pas lui aussi composé de matières lisses agissant sur une forte charpente, capables de produire elles aussi des tonalités, des sons et même des langages ? Notre ossature n'est-elle pas de pierre ? Nos cheveux n'ont-ils pas des allures d'algues, nos yeux ne sont-ils pas semblables aux anémones ? Nos mains, nos pieds ne sont-ils pas comme autant de racines ? Nos bronches et nos veines comme des ramures et des branchages, notre salive et notre sang ne sont-ils pas issus d'un même flot ? "D'autres langages" ne peuvent-ils pas tous être identifiés à des marées, à des vagues...
Dans la Création, le patrimoine génétique ne serait-il pas le même pour toutes les matières ? " Ce long travail d'observations et d'expériences, il le poursuit parallèlement dans son oeuvre picturale ; il lui apparaît qu'il serait possible de dégager un alphabet universel et fondamental des formes comme des sons.
Artiste exigeant, il tente de se rapprocher d'un "Tout" organisé, de louer et de sublimer en quelque sorte, là où magie et mystère se confondent... Selon le poète Victor Hugo : "Il n'est pas de bruit où Dieu n'ait pas mis le verbe" . "Le corps humain n'est-il pas lui aussi composé de matières lisses agissant sur une forte charpente, capables de produire elles aussi des tonalités, des sons et même des langages ? Notre ossature n'est-elle pas de pierre ? Nos cheveux n'ont-ils pas des allures d'algues, nos yeux ne sont-ils pas semblables aux anémones ? Nos mains, nos pieds ne sont-ils pas comme autant de racines ? Nos bronches et nos veines comme des ramures et des branchages, notre salive et notre sang ne sont-ils pas issus d'un même flot ? "D'autres langages" ne peuvent-ils pas tous être identifiés à des marées, à des vagues...
Dans la Création, le patrimoine génétique ne serait-il pas le même pour toutes les matières ? " Ce long travail d'observations et d'expériences, il le poursuit parallèlement dans son oeuvre picturale ; il lui apparaît qu'il serait possible de dégager un alphabet universel et fondamental des formes comme des sons.