Le Prince de Monaco mène depuis vingt ans un combat acharné pour la cause écologique, hanté par une photo d'un glacier prise par son ancêtre cent ans plus tôt. Son constat est effrayant : la fonte des glaces est alarmante. Mais le réchauffement climatique dû aux gaz à effet de serre et à la surconsommation, ainsi que l'exploitation d'énergies fossiles, n'est pas le seul problème qui devrait nous alarmer. Cet essai n'a pas pour but de culpabiliser qui que ce soit, mais bien de faire prendre conscience à chacun de l'importance des océans. Ces derniers jouent le rôle de réfrigérateur
de la surface terrestre et de captateurs du dioxyde de carbone. Or, la pêche intensive et la pollution des eaux mettent en péril cet équilibre précaire mais ô combien salvateur. Les risques à venir sont divers et terribles : disparition d'une biosphère indispensable et déjà menacée, emplois compromis et catastrophes naturelles accrues et plus destructrices. Certes, il est impossible aujourd'hui de renverser le phénomène, mais on peut encore l'endiguer, si nous faisons tous des efforts. C'est un message pacifiste d'espoir et non une critique virulente que Son Altesse Sérénissime porte auprès des autres Chefs d'Etats, qu'il incite à s'engager dans cette lutte urgente, au-delà des querelles et intérêts personnels.
Dans l'océan des rencontres, chaque goutte est importante
Le Prince de Monaco mène depuis vingt ans un combat acharné pour la cause écologique, hanté par une photo d'un glacier prise par son ancêtre cent ans plus tôt. Son constat est effrayant : la fonte des glaces est alarmante. Mais le réchauffement climatique dû aux gaz à effet de serre et à la surconsommation, ainsi que l'exploitation d'énergies fossiles, n'est pas le seul problème qui devrait nous alarmer. Cet essai n'a pas pour but de culpabiliser qui que ce soit, mais bien de faire prendre conscience à chacun de l'importance des océans. Ces derniers jouent le rôle de réfrigérateur de la surface terrestre et de captateurs du dioxyde de carbone. Or, la pêche intensive et la pollution des eaux mettent en péril cet équilibre précaire mais ô combien salvateur. Les risques à venir sont divers et terribles : disparition d'une biosphère indispensable et déjà menacée, emplois compromis et catastrophes naturelles accrues et plus destructrices. Certes, il est impossible aujourd'hui de renverser le phénomène, mais on peut encore l'endiguer, si nous faisons tous des efforts. C'est un message pacifiste d'espoir et non une critique virulente que Son Altesse Sérénissime porte auprès des autres Chefs d'Etats, qu'il incite à s'engager dans cette lutte urgente, au-delà des querelles et intérêts personnels.