Lorsque l'on personnifie, en réunissant, en fusionnant et en mettant en parallèle, ces figures, et notamment celles de "Chouk" et "Ri" (= "Choukri"), dans L'homme du pain nu, une silhouette impromptue s'invite sur scène, tel un "mirage" ou un "rêve", qui ne cesse d'apparaître et de disparaître, chaque fois que le/les deux personnage(s)s'affronte(nt) ou se sépare(nt). Cet autre personnage qui s'invite, ou que nous impose le dramaturge de façon dérobée, se situe entre la veille et le sommeil, ou/et dans la distance qui nous sépare du leurre.
Ben Bouchta nous accompagne, nous lecteurs comme spectateurs, "dans une sorte de cache-cache entre le rêve et la réalité". Ce "mirage" ou "rêve", qui se donne à voir tout en restant dans l'ombre, s'impose comme l'accomplissement de deux entités opposées qui n'en font qu'une. Abdellatif ldrissi
Lorsque l'on personnifie, en réunissant, en fusionnant et en mettant en parallèle, ces figures, et notamment celles de "Chouk" et "Ri" (= "Choukri"), dans L'homme du pain nu, une silhouette impromptue s'invite sur scène, tel un "mirage" ou un "rêve", qui ne cesse d'apparaître et de disparaître, chaque fois que le/les deux personnage(s)s'affronte(nt) ou se sépare(nt). Cet autre personnage qui s'invite, ou que nous impose le dramaturge de façon dérobée, se situe entre la veille et le sommeil, ou/et dans la distance qui nous sépare du leurre.
Ben Bouchta nous accompagne, nous lecteurs comme spectateurs, "dans une sorte de cache-cache entre le rêve et la réalité". Ce "mirage" ou "rêve", qui se donne à voir tout en restant dans l'ombre, s'impose comme l'accomplissement de deux entités opposées qui n'en font qu'une. Abdellatif ldrissi