L’homme au chien blanc
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages190
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.292 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-37827-794-9
- EAN9782378277949
- Date de parution30/06/2023
- ÉditeurSpinelle Editions
Résumé
"Le 28 mai 2019, avec mon sac à dos et mes chaussures de rando, je suis parti en autonomie complète, du Puy-en-Velay direction Saint-Jacques-de-Compostelle en Espagne. Du moins c'est ce que je pensais. D'abord pourquoi partir ? Marcher, en baver des ronds de chapeaux alors que je suis à la retraite et que je pourrais me la couler douce. Cela fait plus de dix ans que j'en rêvais. Mi-2018 j'ai senti que je devais le faire, c'était le moment, le chemin m'appelait.
Pendant un an j'ai préparé mon chemin, je sentais que je devais partir, plus rien ne pouvait me retenir. J'ai 64 ans et je voulais faire le point sur tout ce que j'avais vécu jusque-là. Les dix dernières années n'ont pas été faciles pour moi, partir sur le chemin était un bon moyen de réfléchir, j'allais être servi. Le chemin c'est physique pour le corps mais aussi pour le cerveau. Beaucoup disent qu'il faut attendre une dizaine de jours de marche pour se vider la tête de tous les soucis ou autres parasites avant de rentrer dans l'esprit du chemin.
Pour moi il a fallu quatre jours. D'entrée j'ai compris qu'il ne fallait pas prendre le chemin à la légère. Les dix premiers jours ont été affreux, j'ai eu différents problèmes comme la casse du sac, la casse de mon bâton lors d'une attaque de chien, des ampoules, le moral à zéro, des chutes." C. Morisseau Carmen
Pendant un an j'ai préparé mon chemin, je sentais que je devais partir, plus rien ne pouvait me retenir. J'ai 64 ans et je voulais faire le point sur tout ce que j'avais vécu jusque-là. Les dix dernières années n'ont pas été faciles pour moi, partir sur le chemin était un bon moyen de réfléchir, j'allais être servi. Le chemin c'est physique pour le corps mais aussi pour le cerveau. Beaucoup disent qu'il faut attendre une dizaine de jours de marche pour se vider la tête de tous les soucis ou autres parasites avant de rentrer dans l'esprit du chemin.
Pour moi il a fallu quatre jours. D'entrée j'ai compris qu'il ne fallait pas prendre le chemin à la légère. Les dix premiers jours ont été affreux, j'ai eu différents problèmes comme la casse du sac, la casse de mon bâton lors d'une attaque de chien, des ampoules, le moral à zéro, des chutes." C. Morisseau Carmen
"Le 28 mai 2019, avec mon sac à dos et mes chaussures de rando, je suis parti en autonomie complète, du Puy-en-Velay direction Saint-Jacques-de-Compostelle en Espagne. Du moins c'est ce que je pensais. D'abord pourquoi partir ? Marcher, en baver des ronds de chapeaux alors que je suis à la retraite et que je pourrais me la couler douce. Cela fait plus de dix ans que j'en rêvais. Mi-2018 j'ai senti que je devais le faire, c'était le moment, le chemin m'appelait.
Pendant un an j'ai préparé mon chemin, je sentais que je devais partir, plus rien ne pouvait me retenir. J'ai 64 ans et je voulais faire le point sur tout ce que j'avais vécu jusque-là. Les dix dernières années n'ont pas été faciles pour moi, partir sur le chemin était un bon moyen de réfléchir, j'allais être servi. Le chemin c'est physique pour le corps mais aussi pour le cerveau. Beaucoup disent qu'il faut attendre une dizaine de jours de marche pour se vider la tête de tous les soucis ou autres parasites avant de rentrer dans l'esprit du chemin.
Pour moi il a fallu quatre jours. D'entrée j'ai compris qu'il ne fallait pas prendre le chemin à la légère. Les dix premiers jours ont été affreux, j'ai eu différents problèmes comme la casse du sac, la casse de mon bâton lors d'une attaque de chien, des ampoules, le moral à zéro, des chutes." C. Morisseau Carmen
Pendant un an j'ai préparé mon chemin, je sentais que je devais partir, plus rien ne pouvait me retenir. J'ai 64 ans et je voulais faire le point sur tout ce que j'avais vécu jusque-là. Les dix dernières années n'ont pas été faciles pour moi, partir sur le chemin était un bon moyen de réfléchir, j'allais être servi. Le chemin c'est physique pour le corps mais aussi pour le cerveau. Beaucoup disent qu'il faut attendre une dizaine de jours de marche pour se vider la tête de tous les soucis ou autres parasites avant de rentrer dans l'esprit du chemin.
Pour moi il a fallu quatre jours. D'entrée j'ai compris qu'il ne fallait pas prendre le chemin à la légère. Les dix premiers jours ont été affreux, j'ai eu différents problèmes comme la casse du sac, la casse de mon bâton lors d'une attaque de chien, des ampoules, le moral à zéro, des chutes." C. Morisseau Carmen