Bon, c'est gris, ça caille, ça vente, ça se souvient, ça se prépare une biture et à prendre un an ferme de plus ? Au Champagne ou aux Jaunes ? En tout cas, voici venu l’hiver de notre mécontentement disait un roi prêt à échanger son royaume contre une cheval; un temps à jeter un bouquin de plus au feu de nos âmes crépitantes afin de ragaillardir nos décrépitudes. Voilà mon livre des livres, et pour un bout de temps, livré pour vous, un saigneur des sales humeurs: "L'hiver du mécontentement" de Reverdy: une vraie tarte dans la gueule, bonnes pâtes et vies brisées, fruits de la colère plus ou moins déguisés et poisseux: Une actrice débutante, un Richard III finissant, la Thatcher et l'épouvante des grèves de 1978 et 1979 qui confirmèrent à jamais que la classe ouvrière n'ira pas au paradis. Ce livre est une revendication victorieuse, un braquage rock. Tu peux l'acheter ou le voler camarade, c'est pas d'la bibine aux sous-off ni de la broderie post-punk sur tambour pour nones, d'avance je te pardonne car, c'est juste une oeuvre qui compte. Bruno Vassord
Bon, c'est gris, ça caille, ça vente, ça se souvient, ça se prépare une biture et à prendre un an ferme de plus ? Au Champagne ou aux Jaunes ? En tout cas, voici venu l’hiver de notre mécontentement disait un roi prêt à échanger son royaume contre une cheval; un temps à jeter un bouquin de plus au feu de nos âmes crépitantes afin de ragaillardir nos décrépitudes. Voilà mon livre des livres, et pour un bout de temps, livré pour vous, un saigneur des sales humeurs: "L'hiver du mécontentement" de Reverdy: une vraie tarte dans la gueule, bonnes pâtes et vies brisées, fruits de la colère plus ou moins déguisés et poisseux: Une actrice débutante, un Richard III finissant, la Thatcher et l'épouvante des grèves de 1978 et 1979 qui confirmèrent à jamais que la classe ouvrière n'ira pas au paradis. Ce livre est une revendication victorieuse, un braquage rock. Tu peux l'acheter ou le voler camarade, c'est pas d'la bibine aux sous-off ni de la broderie post-punk sur tambour pour nones, d'avance je te pardonne car, c'est juste une oeuvre qui compte. Bruno Vassord