L'extension illimitée du capital dans le champ pharmaceutique : son emprise sur la pratique sanitaire et médicale. Suivi de Contrepoints - De Rockefeller à Bill Gates

Par : Bernard Peloille
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  • Nombre de pages102
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.145 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-901847-15-1
  • EAN9782901847151
  • Date de parution01/11/2022
  • CollectionCahiers pour l'analyse concrèt
  • ÉditeurCentre de sociologie historique

Résumé

Nous portons à la connaissance des lecteurs un écrit de Bernard Peloille, rédigé il y a un demi-siècle, et dont l'actualité, on pourra le percevoir à la lecture, ne s'est pas démentie. Cet écrit se pose en prolongement de travaux réalisés dans le cadre d'une recherche sociologique portant sur "L'application de la réforme des études médicales et des structures hospitalières de 1958 v, recherche réalisée dans le cadre de l'Ecole des Mines de Paris.
En partie distinct de cette recherche, son objet proprement théorique prend pour point de départ l'analyse de la "forme marchandise" des produits du travail, telle que Marx en avait dégagé la `logique" immanente dès le premier chapitre du Capital. Nous en restituons dans un Avant-propos les éléments nodaux. Il y a plus d'un demi-siècle, Bernard Peloille avait dégagé les raisons théoriques de l'emprise des conditions et "lois" du mode capitaliste de production au sein du champ médical et sanitaire et plus largement dans la sphère politique.
Il n'avait pu en décrire tous les développements à venir. Ces raisons se sont désormais pleinement actualisées dans la pratique contemporaine. Les données partielles regroupées dans une seconde partie, Contrepoints, illustrent cette évolution dans ses différents moments : "De Rockfeller à Bill Gates. Aperçus sur un siècle d'expansion du capital dans le champ pharmaceutique". L'auteur souhaitait que les potentiels lecteurs de l'ouvrage " n'en tirent pas d'extrapolations dans un sens régressif", celui d'une remise en cause des " progrès de la domination humaine sur le monde", en y incluant le champ médical dans le cadre d'une société capitaliste.
Tout progrès dans ce cadre, indiquait-il, fait apparaître des contradictions qu'il convient d'interroger, en relation avec les finalités qui se trouvent à la base de tels progrès et les moments successifs de leur développement.
Nous portons à la connaissance des lecteurs un écrit de Bernard Peloille, rédigé il y a un demi-siècle, et dont l'actualité, on pourra le percevoir à la lecture, ne s'est pas démentie. Cet écrit se pose en prolongement de travaux réalisés dans le cadre d'une recherche sociologique portant sur "L'application de la réforme des études médicales et des structures hospitalières de 1958 v, recherche réalisée dans le cadre de l'Ecole des Mines de Paris.
En partie distinct de cette recherche, son objet proprement théorique prend pour point de départ l'analyse de la "forme marchandise" des produits du travail, telle que Marx en avait dégagé la `logique" immanente dès le premier chapitre du Capital. Nous en restituons dans un Avant-propos les éléments nodaux. Il y a plus d'un demi-siècle, Bernard Peloille avait dégagé les raisons théoriques de l'emprise des conditions et "lois" du mode capitaliste de production au sein du champ médical et sanitaire et plus largement dans la sphère politique.
Il n'avait pu en décrire tous les développements à venir. Ces raisons se sont désormais pleinement actualisées dans la pratique contemporaine. Les données partielles regroupées dans une seconde partie, Contrepoints, illustrent cette évolution dans ses différents moments : "De Rockfeller à Bill Gates. Aperçus sur un siècle d'expansion du capital dans le champ pharmaceutique". L'auteur souhaitait que les potentiels lecteurs de l'ouvrage " n'en tirent pas d'extrapolations dans un sens régressif", celui d'une remise en cause des " progrès de la domination humaine sur le monde", en y incluant le champ médical dans le cadre d'une société capitaliste.
Tout progrès dans ce cadre, indiquait-il, fait apparaître des contradictions qu'il convient d'interroger, en relation avec les finalités qui se trouvent à la base de tels progrès et les moments successifs de leur développement.