L'expérience démoniaque racontée par frère Colomban de Jumièges
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- Nombre de pages309
- PrésentationBroché
- Poids0.424 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-35779-178-7
- EAN9782357791787
- Date de parution15/03/2012
- ÉditeurCamion Noir
Résumé
L'Expérience démoniaque est une autobiographie, celle d'un homme extraordinaire : l'écrivain surréaliste Ernest de Gengenbach. Curé défroqué s'étant voué publiquement au démon, mais continuant à porter la soutane, car elle facilitait ses entreprises de séduction érotique, Ernest de Gengenbach fut un proche d'André Breton, d'Antonin Artaud, de René Crevel, ainsi que l'amant de la "diabolique de Caluire ", Lydie Bastien.
Le récit de sa vie se lit comme un roman où les références à Satan alternent avec les séances d'exorcisme, les retraites monastiques, les passages en prison et les internements en asile psychiatrique. S'il est un homme qui, entre 1925 et 1950, a bien " brûlé sa vie ", c'est incontestablement Ernest de Gengenbach, et son souvenir mérite de sortir de l'oubli. La réédition de ce livre y contribuera.
Le récit de sa vie se lit comme un roman où les références à Satan alternent avec les séances d'exorcisme, les retraites monastiques, les passages en prison et les internements en asile psychiatrique. S'il est un homme qui, entre 1925 et 1950, a bien " brûlé sa vie ", c'est incontestablement Ernest de Gengenbach, et son souvenir mérite de sortir de l'oubli. La réédition de ce livre y contribuera.
L'Expérience démoniaque est une autobiographie, celle d'un homme extraordinaire : l'écrivain surréaliste Ernest de Gengenbach. Curé défroqué s'étant voué publiquement au démon, mais continuant à porter la soutane, car elle facilitait ses entreprises de séduction érotique, Ernest de Gengenbach fut un proche d'André Breton, d'Antonin Artaud, de René Crevel, ainsi que l'amant de la "diabolique de Caluire ", Lydie Bastien.
Le récit de sa vie se lit comme un roman où les références à Satan alternent avec les séances d'exorcisme, les retraites monastiques, les passages en prison et les internements en asile psychiatrique. S'il est un homme qui, entre 1925 et 1950, a bien " brûlé sa vie ", c'est incontestablement Ernest de Gengenbach, et son souvenir mérite de sortir de l'oubli. La réédition de ce livre y contribuera.
Le récit de sa vie se lit comme un roman où les références à Satan alternent avec les séances d'exorcisme, les retraites monastiques, les passages en prison et les internements en asile psychiatrique. S'il est un homme qui, entre 1925 et 1950, a bien " brûlé sa vie ", c'est incontestablement Ernest de Gengenbach, et son souvenir mérite de sortir de l'oubli. La réédition de ce livre y contribuera.