L'Europe plaisante. Fabrique et usages des recueils de facéties (XVIe-XVIIe siècles)
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- Nombre de pages536
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.065 kg
- Dimensions17,2 cm × 24,8 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-600-06505-4
- EAN9782600065054
- Date de parution31/01/2024
- CollectionTravaux d'Humanisme et Renai
- ÉditeurDroz
- PréfacierRoger Chartier
Résumé
Des recueils de facéties ont proliféré en Italie, en France et en Angleterre entre le XVe et le XVIIe siècle. L'Europe plaisante s'emploie à rendre compte de ce phénomène en étudiant la compilation, la circulation et l'appropriation d'un matériau narratif hérité de l'Antiquité et du Moyen Age. Les recueils de facéties sont ici envisagés selon les trois trajectoires qui inaugurent la modernité : la nationalisation linguistique des textes, différenciés à partir d'un même socle latin et adressés à plusieurs marchés du livre ; la confessionnalisation, qui prend pour cible l'adversaire religieux ; le processus de civilisation des moeurs, au sens de Norbert Elias.
François Lavie nous invite à regarder les mutations essentielles du premier âge moderne à travers le prisme de la reconfiguration de l'un des instruments majeurs du faire-rire : les recueils de facéties.
François Lavie nous invite à regarder les mutations essentielles du premier âge moderne à travers le prisme de la reconfiguration de l'un des instruments majeurs du faire-rire : les recueils de facéties.
Des recueils de facéties ont proliféré en Italie, en France et en Angleterre entre le XVe et le XVIIe siècle. L'Europe plaisante s'emploie à rendre compte de ce phénomène en étudiant la compilation, la circulation et l'appropriation d'un matériau narratif hérité de l'Antiquité et du Moyen Age. Les recueils de facéties sont ici envisagés selon les trois trajectoires qui inaugurent la modernité : la nationalisation linguistique des textes, différenciés à partir d'un même socle latin et adressés à plusieurs marchés du livre ; la confessionnalisation, qui prend pour cible l'adversaire religieux ; le processus de civilisation des moeurs, au sens de Norbert Elias.
François Lavie nous invite à regarder les mutations essentielles du premier âge moderne à travers le prisme de la reconfiguration de l'un des instruments majeurs du faire-rire : les recueils de facéties.
François Lavie nous invite à regarder les mutations essentielles du premier âge moderne à travers le prisme de la reconfiguration de l'un des instruments majeurs du faire-rire : les recueils de facéties.