L'Éthique des lumières. Les fondements dela morale dans la philosophie française du XVIIIe siècle
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- Nombre de pages272
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.5 kg
- Dimensions20,5 cm × 13,5 cm × 1,6 cm
- ISBN2-7116-0998-7
- EAN9782711609987
- Date de parution01/01/1989
- ÉditeurVrin
Résumé
Censurés au XVIIIe siècle, les écrivains-philosophes des Lumières demeurent controversés ou singés de nos jours. Cette étude privilégie leurs idées-forces sans négliger les porte-parole. Célèbres (Bayle, Montesquieu, Voltaire, Rousseau, Diderot, Helvétius, d'Holbach...) ou reconnus (d'Argens, Mably, Mirabeau, d'Alembert, Volney, Mme de Staël...) ils n'enferment point leur oeuvre dans le moule d'une pensée unique.
Ne parlant jamais d'une seule voix, tous associent l'invention de la liberté et l'idée neuve de bonheur. La Mettrie, matérialiste médecin des âmes, écrit en précurseur de Freud. Immoraliste visionnaire, Sade anticipe les dérives d'une philosophie déshumanisée. Les débats séculaires avec les apologistes (Abbadie, Barruel, Bergier, Gérard, Holland, Vernes...) élaborent les fondements universels d'une morale non confessionnelle.
Du refus des dogmes et de tout esprit de système naît une éthique transcendant les révélations.
Ne parlant jamais d'une seule voix, tous associent l'invention de la liberté et l'idée neuve de bonheur. La Mettrie, matérialiste médecin des âmes, écrit en précurseur de Freud. Immoraliste visionnaire, Sade anticipe les dérives d'une philosophie déshumanisée. Les débats séculaires avec les apologistes (Abbadie, Barruel, Bergier, Gérard, Holland, Vernes...) élaborent les fondements universels d'une morale non confessionnelle.
Du refus des dogmes et de tout esprit de système naît une éthique transcendant les révélations.
Censurés au XVIIIe siècle, les écrivains-philosophes des Lumières demeurent controversés ou singés de nos jours. Cette étude privilégie leurs idées-forces sans négliger les porte-parole. Célèbres (Bayle, Montesquieu, Voltaire, Rousseau, Diderot, Helvétius, d'Holbach...) ou reconnus (d'Argens, Mably, Mirabeau, d'Alembert, Volney, Mme de Staël...) ils n'enferment point leur oeuvre dans le moule d'une pensée unique.
Ne parlant jamais d'une seule voix, tous associent l'invention de la liberté et l'idée neuve de bonheur. La Mettrie, matérialiste médecin des âmes, écrit en précurseur de Freud. Immoraliste visionnaire, Sade anticipe les dérives d'une philosophie déshumanisée. Les débats séculaires avec les apologistes (Abbadie, Barruel, Bergier, Gérard, Holland, Vernes...) élaborent les fondements universels d'une morale non confessionnelle.
Du refus des dogmes et de tout esprit de système naît une éthique transcendant les révélations.
Ne parlant jamais d'une seule voix, tous associent l'invention de la liberté et l'idée neuve de bonheur. La Mettrie, matérialiste médecin des âmes, écrit en précurseur de Freud. Immoraliste visionnaire, Sade anticipe les dérives d'une philosophie déshumanisée. Les débats séculaires avec les apologistes (Abbadie, Barruel, Bergier, Gérard, Holland, Vernes...) élaborent les fondements universels d'une morale non confessionnelle.
Du refus des dogmes et de tout esprit de système naît une éthique transcendant les révélations.