L'Ethique de la redistribution

Par : Bertrand de Jouvenel
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  • Nombre de pages142
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.185 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-251-39059-8
  • EAN9782251390598
  • Date de parution23/09/2014
  • CollectionBibliothèque classique liberté
  • ÉditeurBelles Lettres
  • PréfacierAlain Laurent
  • TraducteurMichel Lemosse

Résumé

En 1951, tournant le dos à son itinéraire l'ayant mené du socialisme national jusqu'à la collaboration idéologique avec Vichy, Bertrand de Jouvenel (1903-1987) publie au Royaume-Uni et en anglais The Ethics of Redistribution. Dans le prolongement de Du pouvoir (1945) qui lui avait valu une renommée internationale de penseur politique, cet opus, inédit en français, développe avec une sobre alacrité une critique de l'extension du "Minotaure" que représente l'institution naissante de l'Etat-providence par le biais de la redistribution massive des revenus.
Sa thèse : un inquiétant transfert des pouvoirs de décision des individus s'accomplit ainsi au profit de l'Etat, toujours plus omnipotent. Jouvenel met à mal le mythe d'une redistribution ne sollicitant que les plus riches. La logique fiscale conduit nécessairement à ponctionner aussi les classes moyennes. Une analyse singulièrement iconoclaste et prémonitoire.
En 1951, tournant le dos à son itinéraire l'ayant mené du socialisme national jusqu'à la collaboration idéologique avec Vichy, Bertrand de Jouvenel (1903-1987) publie au Royaume-Uni et en anglais The Ethics of Redistribution. Dans le prolongement de Du pouvoir (1945) qui lui avait valu une renommée internationale de penseur politique, cet opus, inédit en français, développe avec une sobre alacrité une critique de l'extension du "Minotaure" que représente l'institution naissante de l'Etat-providence par le biais de la redistribution massive des revenus.
Sa thèse : un inquiétant transfert des pouvoirs de décision des individus s'accomplit ainsi au profit de l'Etat, toujours plus omnipotent. Jouvenel met à mal le mythe d'une redistribution ne sollicitant que les plus riches. La logique fiscale conduit nécessairement à ponctionner aussi les classes moyennes. Une analyse singulièrement iconoclaste et prémonitoire.