L'éthique comme philosophie première ou la défense des droits de l'autre homme chez Emmanuel Levinas
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- Nombre de pages73
- PrésentationBroché
- Poids0.1 kg
- Dimensions13,4 cm × 21,4 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-296-55395-8
- EAN9782296553958
- Date de parution01/05/2011
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierEmilio Baccarini
Résumé
La finitude ou la possibilité de mourir nous oblige à prendre en considération toute l'épaisseur de notre existence corporelle. Cette épaisseur signifie que notre regard est toujours relatif à une position. Ce qui revient à dire qu'aucun homme, aucune pensée, ne peut prétendre avoir la perception totale de la réalité. La perception de la réalité, dans sa totalité, exige le point de vue des autres.
La finitude signifie donc obligation de dialoguer. Autrement dit, la pensée ne commence que lorsque je rencontre l'autre homme. L'autre homme, le différent, l'opposant, est indispensable pour penser. Car la pensée est écoute et réponse à la parole de l'autre ; elle est dialogue. Et c'est ce dialogue qui permet de parvenir à l'indispensable conciliation de la vérité avec la justice et de la politique avec l'éthique.
En d'autres termes, la Raison ou l'Ordre qui régit une société humaine doit prendre en considération les droits de tous ses membres et surtout de ceux qui sont incapables de défendre leurs propres droits par eux-mêmes.
La finitude signifie donc obligation de dialoguer. Autrement dit, la pensée ne commence que lorsque je rencontre l'autre homme. L'autre homme, le différent, l'opposant, est indispensable pour penser. Car la pensée est écoute et réponse à la parole de l'autre ; elle est dialogue. Et c'est ce dialogue qui permet de parvenir à l'indispensable conciliation de la vérité avec la justice et de la politique avec l'éthique.
En d'autres termes, la Raison ou l'Ordre qui régit une société humaine doit prendre en considération les droits de tous ses membres et surtout de ceux qui sont incapables de défendre leurs propres droits par eux-mêmes.
La finitude ou la possibilité de mourir nous oblige à prendre en considération toute l'épaisseur de notre existence corporelle. Cette épaisseur signifie que notre regard est toujours relatif à une position. Ce qui revient à dire qu'aucun homme, aucune pensée, ne peut prétendre avoir la perception totale de la réalité. La perception de la réalité, dans sa totalité, exige le point de vue des autres.
La finitude signifie donc obligation de dialoguer. Autrement dit, la pensée ne commence que lorsque je rencontre l'autre homme. L'autre homme, le différent, l'opposant, est indispensable pour penser. Car la pensée est écoute et réponse à la parole de l'autre ; elle est dialogue. Et c'est ce dialogue qui permet de parvenir à l'indispensable conciliation de la vérité avec la justice et de la politique avec l'éthique.
En d'autres termes, la Raison ou l'Ordre qui régit une société humaine doit prendre en considération les droits de tous ses membres et surtout de ceux qui sont incapables de défendre leurs propres droits par eux-mêmes.
La finitude signifie donc obligation de dialoguer. Autrement dit, la pensée ne commence que lorsque je rencontre l'autre homme. L'autre homme, le différent, l'opposant, est indispensable pour penser. Car la pensée est écoute et réponse à la parole de l'autre ; elle est dialogue. Et c'est ce dialogue qui permet de parvenir à l'indispensable conciliation de la vérité avec la justice et de la politique avec l'éthique.
En d'autres termes, la Raison ou l'Ordre qui régit une société humaine doit prendre en considération les droits de tous ses membres et surtout de ceux qui sont incapables de défendre leurs propres droits par eux-mêmes.