Alec doit infiltrer les services secrets est-allemands et éliminer leur chef, Mundt, responsable de l’assassinat de plusieurs
agents britanniques.
Ce roman est un chef-d’oeuvre de précision, aux rouages parfaitement huilés et à la tension psychologique constante.
Ici, pas de gadgets à la James Bond, plutôt un réalisme quasiment documentaire.
Froid, cynique, ciselé comme un mécanisme d’horlogerie, L’espion qui venait du froid est l’un des plus grands romans d’espionnage de l’histoire.
Alec doit infiltrer les services secrets est-allemands et éliminer leur chef, Mundt, responsable de l’assassinat de plusieurs
agents britanniques.
Ce roman est un chef-d’oeuvre de précision, aux rouages parfaitement huilés et à la tension psychologique constante.
Ici, pas de gadgets à la James Bond, plutôt un réalisme quasiment documentaire.
Froid, cynique, ciselé comme un mécanisme d’horlogerie, L’espion qui venait du froid est l’un des plus grands romans d’espionnage de l’histoire.