L'ésotérisme de Léonard de Vinci
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- Nombre de pages128
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.258 kg
- Dimensions13,6 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-85090-631-2
- EAN9782850906312
- Date de parution13/11/2017
- ÉditeurBussière
Résumé
L'ésotérisme de Léonard de Vinci est par nature difficile à cerner. La pensée de l'homme est d'une puissance et d'une profondeur insondables et la méthode voilée utilisée pour l'exprimer écarte par définition tout caractère explicite. Chaque élément fait panic d'un tout qui résiste à l'expression rationnelle et structurée autour de catégories figées ou de déductions logiques. C'est donc avec beaucoup de prudence et d'humilité que nous tenterons de dégager les points saillants de cet ésotérisme.
Pour les besoins de l'exposé. nous avons regroupé cette pensée ésotérique autour de plusieurs éléments, à commencer par k microcosme et le macrocosme, car Léonard ne conçoit pas l'un sans l'autre : l'homme s'inscrit nécessairement dans le monde (A). Puis nous nous pencherons sur la lumière et les ténèbres (B), dont l'association n'est pas pour Léonard qu'un simple jeu pictural mais reflète une inspiration plus profonde.
Avec la beauté androgyne (C), que nous étudierons ensuite, c'est l'inclination de Léonard pour la coïncidence des contraires qui se fait jour : ses personnages efféminés ne sont pas anecdotiques. Plongeant toujours plus profond dans les conceptions léonardiennes. c'est sa sensibilité à la tradition primordiale (D) qui sera soulignée. Léonard n'était pas homme à se laisser enfermer dans un système théologique, il aimait à puiser dans une vérité.
Pour les besoins de l'exposé. nous avons regroupé cette pensée ésotérique autour de plusieurs éléments, à commencer par k microcosme et le macrocosme, car Léonard ne conçoit pas l'un sans l'autre : l'homme s'inscrit nécessairement dans le monde (A). Puis nous nous pencherons sur la lumière et les ténèbres (B), dont l'association n'est pas pour Léonard qu'un simple jeu pictural mais reflète une inspiration plus profonde.
Avec la beauté androgyne (C), que nous étudierons ensuite, c'est l'inclination de Léonard pour la coïncidence des contraires qui se fait jour : ses personnages efféminés ne sont pas anecdotiques. Plongeant toujours plus profond dans les conceptions léonardiennes. c'est sa sensibilité à la tradition primordiale (D) qui sera soulignée. Léonard n'était pas homme à se laisser enfermer dans un système théologique, il aimait à puiser dans une vérité.
L'ésotérisme de Léonard de Vinci est par nature difficile à cerner. La pensée de l'homme est d'une puissance et d'une profondeur insondables et la méthode voilée utilisée pour l'exprimer écarte par définition tout caractère explicite. Chaque élément fait panic d'un tout qui résiste à l'expression rationnelle et structurée autour de catégories figées ou de déductions logiques. C'est donc avec beaucoup de prudence et d'humilité que nous tenterons de dégager les points saillants de cet ésotérisme.
Pour les besoins de l'exposé. nous avons regroupé cette pensée ésotérique autour de plusieurs éléments, à commencer par k microcosme et le macrocosme, car Léonard ne conçoit pas l'un sans l'autre : l'homme s'inscrit nécessairement dans le monde (A). Puis nous nous pencherons sur la lumière et les ténèbres (B), dont l'association n'est pas pour Léonard qu'un simple jeu pictural mais reflète une inspiration plus profonde.
Avec la beauté androgyne (C), que nous étudierons ensuite, c'est l'inclination de Léonard pour la coïncidence des contraires qui se fait jour : ses personnages efféminés ne sont pas anecdotiques. Plongeant toujours plus profond dans les conceptions léonardiennes. c'est sa sensibilité à la tradition primordiale (D) qui sera soulignée. Léonard n'était pas homme à se laisser enfermer dans un système théologique, il aimait à puiser dans une vérité.
Pour les besoins de l'exposé. nous avons regroupé cette pensée ésotérique autour de plusieurs éléments, à commencer par k microcosme et le macrocosme, car Léonard ne conçoit pas l'un sans l'autre : l'homme s'inscrit nécessairement dans le monde (A). Puis nous nous pencherons sur la lumière et les ténèbres (B), dont l'association n'est pas pour Léonard qu'un simple jeu pictural mais reflète une inspiration plus profonde.
Avec la beauté androgyne (C), que nous étudierons ensuite, c'est l'inclination de Léonard pour la coïncidence des contraires qui se fait jour : ses personnages efféminés ne sont pas anecdotiques. Plongeant toujours plus profond dans les conceptions léonardiennes. c'est sa sensibilité à la tradition primordiale (D) qui sera soulignée. Léonard n'était pas homme à se laisser enfermer dans un système théologique, il aimait à puiser dans une vérité.