L'escrime, la danse et l'art de la guerre. Le livre et la représentation du mouvement
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- Nombre de pages96
- PrésentationBroché
- Poids0.276 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7177-2473-8
- EAN9782717724738
- Date de parution28/07/2011
- CollectionConférences Léopold Delisle
- ÉditeurBNF
Résumé
D'abord essentielle à l'art de la guerre, et mise en oeuvre dès l'Antiquité, la transcription du mouvement passe par une simple juxtaposition de dessins qui, comme autant d'instantanés visuels, montrent le mouvement à chaque étape de son déploiement, permettant ainsi d'en garder la trace et de l'imiter. Cette représentation se heurte cependant à une tension irréconciliable entre la volonté d'être minutieux dans la description et synthétique dans le schéma.
Au Moyen Age puis à la Renaissance, les maîtres d'escrime cherchent à développer une notation du mouvement plus complexe. Camillo Agrippa, mathématicien, architecte et ingénieur, révolutionne la notation du mouvement en 1553 au moyen des principes géométriques. Les maîtres d'escrime et de danse recherchent dès lors un système aussi efficace que l'écriture musicale. C'est à un parcours à travers ces "partitions du geste" , qui rivalisent de beauté et de sophistication, que nous convie Sydney Anglo.
Combats à la barrière, combats simulés et dansés, mouvement des troupes et des corps de ballet : les arts de la guerre, de l'escrime et de la danse se préparent avec le même soin, la même attention accordée aux gestes, au rythme et à la synchronisation. Le prisme de leur transcription révèle leur parenté. Né en 1934, Sydney Anglo fait son doctorat à l'institut Warburg, sous la direction de Frances Yates.
Historien des idées et personnalité de la radio, il est aujourd'hui professeur émérite de l'Université du Pays de Galles, membre de la Society of Antiquaries, de la Learned Society of Wales et de la British Academy.
Au Moyen Age puis à la Renaissance, les maîtres d'escrime cherchent à développer une notation du mouvement plus complexe. Camillo Agrippa, mathématicien, architecte et ingénieur, révolutionne la notation du mouvement en 1553 au moyen des principes géométriques. Les maîtres d'escrime et de danse recherchent dès lors un système aussi efficace que l'écriture musicale. C'est à un parcours à travers ces "partitions du geste" , qui rivalisent de beauté et de sophistication, que nous convie Sydney Anglo.
Combats à la barrière, combats simulés et dansés, mouvement des troupes et des corps de ballet : les arts de la guerre, de l'escrime et de la danse se préparent avec le même soin, la même attention accordée aux gestes, au rythme et à la synchronisation. Le prisme de leur transcription révèle leur parenté. Né en 1934, Sydney Anglo fait son doctorat à l'institut Warburg, sous la direction de Frances Yates.
Historien des idées et personnalité de la radio, il est aujourd'hui professeur émérite de l'Université du Pays de Galles, membre de la Society of Antiquaries, de la Learned Society of Wales et de la British Academy.
D'abord essentielle à l'art de la guerre, et mise en oeuvre dès l'Antiquité, la transcription du mouvement passe par une simple juxtaposition de dessins qui, comme autant d'instantanés visuels, montrent le mouvement à chaque étape de son déploiement, permettant ainsi d'en garder la trace et de l'imiter. Cette représentation se heurte cependant à une tension irréconciliable entre la volonté d'être minutieux dans la description et synthétique dans le schéma.
Au Moyen Age puis à la Renaissance, les maîtres d'escrime cherchent à développer une notation du mouvement plus complexe. Camillo Agrippa, mathématicien, architecte et ingénieur, révolutionne la notation du mouvement en 1553 au moyen des principes géométriques. Les maîtres d'escrime et de danse recherchent dès lors un système aussi efficace que l'écriture musicale. C'est à un parcours à travers ces "partitions du geste" , qui rivalisent de beauté et de sophistication, que nous convie Sydney Anglo.
Combats à la barrière, combats simulés et dansés, mouvement des troupes et des corps de ballet : les arts de la guerre, de l'escrime et de la danse se préparent avec le même soin, la même attention accordée aux gestes, au rythme et à la synchronisation. Le prisme de leur transcription révèle leur parenté. Né en 1934, Sydney Anglo fait son doctorat à l'institut Warburg, sous la direction de Frances Yates.
Historien des idées et personnalité de la radio, il est aujourd'hui professeur émérite de l'Université du Pays de Galles, membre de la Society of Antiquaries, de la Learned Society of Wales et de la British Academy.
Au Moyen Age puis à la Renaissance, les maîtres d'escrime cherchent à développer une notation du mouvement plus complexe. Camillo Agrippa, mathématicien, architecte et ingénieur, révolutionne la notation du mouvement en 1553 au moyen des principes géométriques. Les maîtres d'escrime et de danse recherchent dès lors un système aussi efficace que l'écriture musicale. C'est à un parcours à travers ces "partitions du geste" , qui rivalisent de beauté et de sophistication, que nous convie Sydney Anglo.
Combats à la barrière, combats simulés et dansés, mouvement des troupes et des corps de ballet : les arts de la guerre, de l'escrime et de la danse se préparent avec le même soin, la même attention accordée aux gestes, au rythme et à la synchronisation. Le prisme de leur transcription révèle leur parenté. Né en 1934, Sydney Anglo fait son doctorat à l'institut Warburg, sous la direction de Frances Yates.
Historien des idées et personnalité de la radio, il est aujourd'hui professeur émérite de l'Université du Pays de Galles, membre de la Society of Antiquaries, de la Learned Society of Wales et de la British Academy.