Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'escalier des heures glissantes est l'histoire d'un banquier français, bon chic, bon genre, plongé soudain dans les plaisirs sans complexe de la jeunesse...
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Résumé
L'escalier des heures glissantes est l'histoire d'un banquier français, bon chic, bon genre, plongé soudain dans les plaisirs sans complexe de la jeunesse romaine.
Roman au ton taquin, moqueur et divertissant, c'est un cousin issu de germain, façon XXe siècle, des contes libertins du XVIIIe siècle. L'allégresse y a droit de cité, et la satire. Sous son ton frivole et désinvolte, c'est aussi un conte philosophique dans la tradition, développant, avec légèreté et mine de rien, une théorie de la bisexualité (quasi universelle).
C'est également un reportage vécu par un promeneur amoureux inlassablement de Rome et de sa vraie vie, hors des sentiers battus par le tourisme pressé. C'est pourquoi l'auteur dit que L'escalier des heures glissantes est un roman-reportage.
Un duc français, un garçon des rues romaines découvrent ou révèlent secrets et mystères vieux comme le monde antique, scandaleux ou attendrissants, incroyables ou poétiques... Ceux qui aiment l'Italie ne seront pas forcément d'accord. Ceux qui s'entendent vraiment avec les Italiens auront un sourire complice. Quant aux pharisiens... Eric. Olivier cite volontiers cette phrase d'Alba de Cespedes : " Les hommes qui s'acharnent dans l'absurde de tentative de moraliser la vie ne sont pas portés à en jouir : la morale est un châtiment qu'ils veulent imposer aux autres pour les punir d'un plaisir qu'eux-mêmes ne savent pas saisir...