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- Nombre de pages288
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.408 kg
- Dimensions14,1 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-35597-042-9
- EAN9782355970429
- Date de parution11/03/2020
- ÉditeurL'inventaire
Résumé
A quoi ressemblerait un monde dans lequel la notion d'autorité n'existerait plus ? C'est la question que s'est posée Isabelle Cani en lisant le Discours de la servitude volontaire de La Boétie. A partir de situations quotidiennes, l'auteur, en neuf nouvelles puisant à la source des Chroniques martiennes, plante le décor de ce qui s'annonce comme le premier tome d'une trilogie : ici, ce sont des élèves qui ne mettent plus les pieds au lycée ; là, des vieillards qui fuguent de leur maison de retraite et refusent catégoriquement d'y retourner ; ailleurs, des écologistes qui libèrent brusquement les animaux d'une gigantesque ferme...
D'un texte à l'autre, ce qui apparait au commencement comme une suite d'événements mineurs - réjouissants pour les uns, irritants pour les autres - se révèle une lame de fond, qui balaie notre univers familier. Tout est à reconsidérer, à reprendre à zéro. Pire, la raison n'est d'aucun secours, car, au fil des pages, on s'aperçoit que le monde est en proie à un étrange phénomène... Qu'on ne s'y méprenne pas : le projet de l'auteur ne relève pas de l'anticipation pure.
L'ére des indociles évoque un futur très proche et l'auteur, à partir de son hypothèse, s'attache à rester réaliste, ce qui la rend plus convaincante encore.
D'un texte à l'autre, ce qui apparait au commencement comme une suite d'événements mineurs - réjouissants pour les uns, irritants pour les autres - se révèle une lame de fond, qui balaie notre univers familier. Tout est à reconsidérer, à reprendre à zéro. Pire, la raison n'est d'aucun secours, car, au fil des pages, on s'aperçoit que le monde est en proie à un étrange phénomène... Qu'on ne s'y méprenne pas : le projet de l'auteur ne relève pas de l'anticipation pure.
L'ére des indociles évoque un futur très proche et l'auteur, à partir de son hypothèse, s'attache à rester réaliste, ce qui la rend plus convaincante encore.
A quoi ressemblerait un monde dans lequel la notion d'autorité n'existerait plus ? C'est la question que s'est posée Isabelle Cani en lisant le Discours de la servitude volontaire de La Boétie. A partir de situations quotidiennes, l'auteur, en neuf nouvelles puisant à la source des Chroniques martiennes, plante le décor de ce qui s'annonce comme le premier tome d'une trilogie : ici, ce sont des élèves qui ne mettent plus les pieds au lycée ; là, des vieillards qui fuguent de leur maison de retraite et refusent catégoriquement d'y retourner ; ailleurs, des écologistes qui libèrent brusquement les animaux d'une gigantesque ferme...
D'un texte à l'autre, ce qui apparait au commencement comme une suite d'événements mineurs - réjouissants pour les uns, irritants pour les autres - se révèle une lame de fond, qui balaie notre univers familier. Tout est à reconsidérer, à reprendre à zéro. Pire, la raison n'est d'aucun secours, car, au fil des pages, on s'aperçoit que le monde est en proie à un étrange phénomène... Qu'on ne s'y méprenne pas : le projet de l'auteur ne relève pas de l'anticipation pure.
L'ére des indociles évoque un futur très proche et l'auteur, à partir de son hypothèse, s'attache à rester réaliste, ce qui la rend plus convaincante encore.
D'un texte à l'autre, ce qui apparait au commencement comme une suite d'événements mineurs - réjouissants pour les uns, irritants pour les autres - se révèle une lame de fond, qui balaie notre univers familier. Tout est à reconsidérer, à reprendre à zéro. Pire, la raison n'est d'aucun secours, car, au fil des pages, on s'aperçoit que le monde est en proie à un étrange phénomène... Qu'on ne s'y méprenne pas : le projet de l'auteur ne relève pas de l'anticipation pure.
L'ére des indociles évoque un futur très proche et l'auteur, à partir de son hypothèse, s'attache à rester réaliste, ce qui la rend plus convaincante encore.