Né au Gabon en 1948, il a à peine trois ans, Jean d' Aillon est docteur d'État en sciences économiques. Il a enseigné l’histoire économique et la macroéconomie à l’université puis il a fait carrière dans l'administration des finances au sein de la Commission européenne. C’est à partir de 1997 qu’il commence à publier des des récits historiques ainsi que des romans policiers autour de l'Histoire de France. Retrouvez : Rouen 1203, Le chien des Basqueville, Le Grand Arcane des rois de France - La vérité sur l'Aiguille creuse, et Férir ou périr - La jeunesse de Guilhem d'Ussel.
L'épouvantable meurtre du marquis de Fors
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages456
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.25 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-264-07916-9
- EAN9782264079169
- Date de parution06/01/2022
- CollectionPolar
- Éditeur10/18
Résumé
Connait-on vraiment ses ennemis ? En 1663, le marquis de Fors Vigeant, ancien capitaine du prince de Condé, était horriblement assassiné et mutilé lors d'un guet-apens près de Poitiers. Trois ans plus tard, alors qu'il revient d'Angleterre, Louis Fronsac se voit approché par un avocat au Conseil des parties, instance judiciaire en dernier recours où siège Gaston de Tilly comme maître des requêtes.
Le défenseur lui assure que les accusés, mis à la question ordinaire et extraordinaire, sont innocents, bien que l'un d'eux ait déjà été décapité. Que leur procès, remplis d'irrégularités, n'est qu'une manoeuvre conduite par une grande dame de la cour pour abaisser la famille Mortemart dont le père et le fils sont des favoris du roi. Louis Fronsac accepte de reprendre l'enquête, bien qu'il ne dispose que de peu de temps avant l'exécution des derniers prévenus.
Mais ceux qu'il gêne sont tout-puissants, et après avoir subi une sanglante agression et la disparition de Gaston de Tilly, il sera contraint à une violente riposte. Seulement, n'est-il pas déjà trop tard et a-t-il correctement identifié ses ennemis ?
Le défenseur lui assure que les accusés, mis à la question ordinaire et extraordinaire, sont innocents, bien que l'un d'eux ait déjà été décapité. Que leur procès, remplis d'irrégularités, n'est qu'une manoeuvre conduite par une grande dame de la cour pour abaisser la famille Mortemart dont le père et le fils sont des favoris du roi. Louis Fronsac accepte de reprendre l'enquête, bien qu'il ne dispose que de peu de temps avant l'exécution des derniers prévenus.
Mais ceux qu'il gêne sont tout-puissants, et après avoir subi une sanglante agression et la disparition de Gaston de Tilly, il sera contraint à une violente riposte. Seulement, n'est-il pas déjà trop tard et a-t-il correctement identifié ses ennemis ?
Connait-on vraiment ses ennemis ? En 1663, le marquis de Fors Vigeant, ancien capitaine du prince de Condé, était horriblement assassiné et mutilé lors d'un guet-apens près de Poitiers. Trois ans plus tard, alors qu'il revient d'Angleterre, Louis Fronsac se voit approché par un avocat au Conseil des parties, instance judiciaire en dernier recours où siège Gaston de Tilly comme maître des requêtes.
Le défenseur lui assure que les accusés, mis à la question ordinaire et extraordinaire, sont innocents, bien que l'un d'eux ait déjà été décapité. Que leur procès, remplis d'irrégularités, n'est qu'une manoeuvre conduite par une grande dame de la cour pour abaisser la famille Mortemart dont le père et le fils sont des favoris du roi. Louis Fronsac accepte de reprendre l'enquête, bien qu'il ne dispose que de peu de temps avant l'exécution des derniers prévenus.
Mais ceux qu'il gêne sont tout-puissants, et après avoir subi une sanglante agression et la disparition de Gaston de Tilly, il sera contraint à une violente riposte. Seulement, n'est-il pas déjà trop tard et a-t-il correctement identifié ses ennemis ?
Le défenseur lui assure que les accusés, mis à la question ordinaire et extraordinaire, sont innocents, bien que l'un d'eux ait déjà été décapité. Que leur procès, remplis d'irrégularités, n'est qu'une manoeuvre conduite par une grande dame de la cour pour abaisser la famille Mortemart dont le père et le fils sont des favoris du roi. Louis Fronsac accepte de reprendre l'enquête, bien qu'il ne dispose que de peu de temps avant l'exécution des derniers prévenus.
Mais ceux qu'il gêne sont tout-puissants, et après avoir subi une sanglante agression et la disparition de Gaston de Tilly, il sera contraint à une violente riposte. Seulement, n'est-il pas déjà trop tard et a-t-il correctement identifié ses ennemis ?