Puisque rien ne dure... comment penser l'irréversibilité du temps et l'inéluctabilité de la mort ? Quelle place pour la créativité ? L'éphémère se décline selon trois angles : Classique, il qualifie "le plaisir qui ne dure qu'un moment" . C'est l'affect des fonctionnements du Moi se répétant entre la pulsion et l'objet sous des formes diverses ; Signifiant plus essentiel, il exprime les limites de l'auto-identification, la brièveté du "sentiment continu d'exister" , la question de l'irréversibilité du temps et de l'inéluctabilité de la mort.
Entre ces deux niveaux, que penser pour dire "je suis" ? C'est le travail de la créativité psychique. L'élaboration - elle-même éphémère - dont un exemple inattendu et pourtant privilégié pourrait être l'art du château de sable au bord de la marée...
Puisque rien ne dure... comment penser l'irréversibilité du temps et l'inéluctabilité de la mort ? Quelle place pour la créativité ? L'éphémère se décline selon trois angles : Classique, il qualifie "le plaisir qui ne dure qu'un moment" . C'est l'affect des fonctionnements du Moi se répétant entre la pulsion et l'objet sous des formes diverses ; Signifiant plus essentiel, il exprime les limites de l'auto-identification, la brièveté du "sentiment continu d'exister" , la question de l'irréversibilité du temps et de l'inéluctabilité de la mort.
Entre ces deux niveaux, que penser pour dire "je suis" ? C'est le travail de la créativité psychique. L'élaboration - elle-même éphémère - dont un exemple inattendu et pourtant privilégié pourrait être l'art du château de sable au bord de la marée...