L'entretien du Northumberland !. Les Anglais méritaient-ils de gagner à Waterloo ?

Par : Thierry Allemand
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  • Nombre de pages322
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.49 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,3 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-940556-79-3
  • EAN9782940556793
  • Date de parution01/03/2018
  • ÉditeurBalland

Résumé

Dans la geste française, l'Empereur ne devait pas perdre ! La gloire passée, le génie de la campagne de France de 1814, les trahisons multiples et la relégation sur l'île d'Elbe, voire la préservation de l'élan de la Révolution, tout concourait à rendre légitimes à la fois les futures victoires et les reconnaissances des cours d'Europe. Mais le dimanche 18 juin 1815, un général britannique va faire "de l'échauffourée" anticipée par Napoléon, un cataclysme sociétal ! Le "Cipaye", selon l'appellation napoléonienne, sortait vainqueur de la confrontation aidé, en cela par ses alliés.
50 jours après, le 7 août 1815 au large de Plymouth, Napoléon est à bord du Northumberland qui doit le convoyer vers l'île de Sainte-Hélène. Le récit prend place quelques heures avant ce départ. En début d'après-midi, Napoléon regagne sa cabine. Les témoins le disent peu en forme, souffrant, c'est là qu'il pense s'être retrouvé devant Wellington, monté secrètement à bord pour s'entretenir avec lui de la campagne qui vient de se dérouler...
Dans la geste française, l'Empereur ne devait pas perdre ! La gloire passée, le génie de la campagne de France de 1814, les trahisons multiples et la relégation sur l'île d'Elbe, voire la préservation de l'élan de la Révolution, tout concourait à rendre légitimes à la fois les futures victoires et les reconnaissances des cours d'Europe. Mais le dimanche 18 juin 1815, un général britannique va faire "de l'échauffourée" anticipée par Napoléon, un cataclysme sociétal ! Le "Cipaye", selon l'appellation napoléonienne, sortait vainqueur de la confrontation aidé, en cela par ses alliés.
50 jours après, le 7 août 1815 au large de Plymouth, Napoléon est à bord du Northumberland qui doit le convoyer vers l'île de Sainte-Hélène. Le récit prend place quelques heures avant ce départ. En début d'après-midi, Napoléon regagne sa cabine. Les témoins le disent peu en forme, souffrant, c'est là qu'il pense s'être retrouvé devant Wellington, monté secrètement à bord pour s'entretenir avec lui de la campagne qui vient de se dérouler...