Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce livre présente une lecture d'un récit de Mt 21, 1-17 (l'entrée de Jésus à Jérusalem et dans le temple), attentive en particulier à la façon...
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Résumé
Ce livre présente une lecture d'un récit de Mt 21, 1-17 (l'entrée de Jésus à Jérusalem et dans le temple), attentive en particulier à la façon dont Matthieu, en un art accompli, trame son récit et le tisse à partir des Ecritures anciennes. Cette écriture intertextuelle de son récit fait ici l'objet d'une étude minutieuse. On ne peut que reconnaître partout des allusions à l'ensemble de la Bible. Des critères assez précis sont établis au départ de l'analyse, qui permettent de passer ensuite en revue l'ensemble du récit. L'étude montre en particulier comment des pages importantes de l'Ancien Testament s'appellent ici mutuellement et se conjuguent. Dès lors, la notion elle-même d'accomplissement des Ecritures trouve dans cette lecture un éclairage singulier. Matthieu est saisi dans son geste d'écriture organisant en véritable polyphonie les Ecritures. Il les montre trouvant en Jésus leur plénitude. Citations d'accomplissement, appel de Jésus aux Ecritures ou à leur lecture, acclamations des foules ou des enfants dans le temple sont autant de ressources qui se mêlent aux simples allusions (soigneusement vérifiées ici) pour dire en Jésus la plénitude des Ecritures et tracer ainsi de lui un portrait christologique assez saisissant. Cette étude lie de façon originale une approche diachronique (par l'histoire) et synchronique (par le seul récit). La lecture intertextuelle à laquelle elle mène éclaire finement le récit et met en relief de façon nouvelle l'art de Matthieu, le " scribe avisé " (Mt 13, 52), dont la plume trace en lettres de lumière le visage du Ressuscité.