L'enseignement de la musique en France. Situation, problèmes, réflexions
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages221
- PrésentationBroché
- Poids0.285 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-7384-8480-8
- EAN9782738484802
- Date de parution22/01/2000
- CollectionSciences éducation musicale
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Sait-on vraiment :
- qu'un Conservatoire national de région n'est ni " national ", ni de " région ", mais une simple école de musique en régie municipale directe ?
- que l'apparition du chant à l'école date de 1833, soit cinquante ans avant les lois de Jules Ferry (1881-1882) ?
- que le solfège s'appelle formation musicale depuis 1982 ?
Ces aspects anecdotiques, historiques ou techniques, l'auteur les met en perspective, avec bien d'autres éléments méconnus des musiciens eux-mêmes, pour dresser une synthèse riche et originale, relative aux composantes de l'enseignement de la musique en France en cette fin du XXe siècle. Cet essai novateur semblait manquer, à une époque où le quart des Français sait jouer d'un instrument de musique et où les amateurs, dans leurs pratiques culturelles, se considèrent à 65 % comme des musiciens ou des chanteurs.
Sait-on vraiment :
- qu'un Conservatoire national de région n'est ni " national ", ni de " région ", mais une simple école de musique en régie municipale directe ?
- que l'apparition du chant à l'école date de 1833, soit cinquante ans avant les lois de Jules Ferry (1881-1882) ?
- que le solfège s'appelle formation musicale depuis 1982 ?
Ces aspects anecdotiques, historiques ou techniques, l'auteur les met en perspective, avec bien d'autres éléments méconnus des musiciens eux-mêmes, pour dresser une synthèse riche et originale, relative aux composantes de l'enseignement de la musique en France en cette fin du XXe siècle. Cet essai novateur semblait manquer, à une époque où le quart des Français sait jouer d'un instrument de musique et où les amateurs, dans leurs pratiques culturelles, se considèrent à 65 % comme des musiciens ou des chanteurs.