L'enfer des pompiers. Témoignage d'un ancien pompier de Paris

Par : Jean-Jacques Lubrina

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages146
  • PrésentationBroché
  • Poids0.247 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-86645-755-6
  • EAN9782866457556
  • Date de parution13/05/2011
  • CollectionLes marches du temps
  • ÉditeurFélin (Editions du)
  • PréfacierMichel Foucault

Résumé

En 1957, Jean-Jacques Lubrina a 15 ans. Il est en apprentissage chez un pâtissier, trois ans plus tard, il est reçu premier à son CAP. Maigre récompense : 350 francs par mois pour 14 heures de travail par jour, au profit d'un pâtissier de Neuilly. À 19 ans, délaissant la crème au beurre pour la lance à eau, il s'engage dans le Corps des Pompiers de Paris. Là aussi, il est bien noté mais n'hésite pas pour autant à "jouer avec le feu".
Comme il sait prendre la mesure des choses et qu'il a du coeur, il se révolte. C'est ainsi qu'il en vient à consigner les tares d'un système par le menu détail des injustices et vexations de toutes sortes. C'est le récit de cette expérience qu'il livre ici. De retour à la vie civile, il devient concierge, surveillant d'externat, cuisinier, veilleur de nuit, crieur de journaux, chef de sécurité incendie dans les grands magasins, tout en s'initiant à la philosophie qu'il enseignera et qui lui ouvrira les portes de plusieurs cabinets ministériels.
Mille métiers qui sont comme mille voyages... avec la vie.
En 1957, Jean-Jacques Lubrina a 15 ans. Il est en apprentissage chez un pâtissier, trois ans plus tard, il est reçu premier à son CAP. Maigre récompense : 350 francs par mois pour 14 heures de travail par jour, au profit d'un pâtissier de Neuilly. À 19 ans, délaissant la crème au beurre pour la lance à eau, il s'engage dans le Corps des Pompiers de Paris. Là aussi, il est bien noté mais n'hésite pas pour autant à "jouer avec le feu".
Comme il sait prendre la mesure des choses et qu'il a du coeur, il se révolte. C'est ainsi qu'il en vient à consigner les tares d'un système par le menu détail des injustices et vexations de toutes sortes. C'est le récit de cette expérience qu'il livre ici. De retour à la vie civile, il devient concierge, surveillant d'externat, cuisinier, veilleur de nuit, crieur de journaux, chef de sécurité incendie dans les grands magasins, tout en s'initiant à la philosophie qu'il enseignera et qui lui ouvrira les portes de plusieurs cabinets ministériels.
Mille métiers qui sont comme mille voyages... avec la vie.