Prix Nobel de Littérature
L'enfance d'un magicien
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- Nombre de pages230
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.26 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,7 cm
- ISBN2-7021-0037-6
- EAN9782702100370
- Date de parution01/04/1994
- ÉditeurCalmann-Lévy
Résumé
Ce volume se compose de cinq récits : "Enfance d'un magicien". "Esquisse d'une autiogiographie" (1927). "Les belles années" (1916). "La quatrième existence de Joseph Knecht" (1934). "L'homme qui voulait changer le monde" (1911). Les trois premiers sont autobiographiques. ils se recoupent en se complétant. Les deux derniers sont des nouvelles. "La quatrième existence de Joseph Knecht" se rattache au Jeu des perles de verre, et l'on trouvera dans "L'homme qui voulait changer le monde" l'évocation de certains milieux intellectuels dans les années 1900.
l'unité de cet ensemble tient à l'inspiration même de Hesse, chez qui s'associent et souvent se confondent la sagesse et l'audace, la peinture et la mmusique. Pour lui, la magie, avec toutes les rêveries qu'elle lui inspire, est connaissance intérieure, amélioration de soi aux fins d'une transformation bénéfique des autres : "Il n'est rien à quoi l'homme se laisse mener plus difficilement qu'à son bonheur".
Quand Hesse écrit qu'à aucun moment, il n'a été un homme moderne, il faut entendre qu'il ne s'est jamais accommodé des maux et des sottises de son temps. De même qu'aux plus grands, ses pairs, la vie lui apparaît comme un conte, le plus souvent cruel, mais toujours grandi par la nature et l'amour. Pour nous, c'est le charme éclatant d'un songe qui se dégage de ces pages familières et rythmées.
l'unité de cet ensemble tient à l'inspiration même de Hesse, chez qui s'associent et souvent se confondent la sagesse et l'audace, la peinture et la mmusique. Pour lui, la magie, avec toutes les rêveries qu'elle lui inspire, est connaissance intérieure, amélioration de soi aux fins d'une transformation bénéfique des autres : "Il n'est rien à quoi l'homme se laisse mener plus difficilement qu'à son bonheur".
Quand Hesse écrit qu'à aucun moment, il n'a été un homme moderne, il faut entendre qu'il ne s'est jamais accommodé des maux et des sottises de son temps. De même qu'aux plus grands, ses pairs, la vie lui apparaît comme un conte, le plus souvent cruel, mais toujours grandi par la nature et l'amour. Pour nous, c'est le charme éclatant d'un songe qui se dégage de ces pages familières et rythmées.
Ce volume se compose de cinq récits : "Enfance d'un magicien". "Esquisse d'une autiogiographie" (1927). "Les belles années" (1916). "La quatrième existence de Joseph Knecht" (1934). "L'homme qui voulait changer le monde" (1911). Les trois premiers sont autobiographiques. ils se recoupent en se complétant. Les deux derniers sont des nouvelles. "La quatrième existence de Joseph Knecht" se rattache au Jeu des perles de verre, et l'on trouvera dans "L'homme qui voulait changer le monde" l'évocation de certains milieux intellectuels dans les années 1900.
l'unité de cet ensemble tient à l'inspiration même de Hesse, chez qui s'associent et souvent se confondent la sagesse et l'audace, la peinture et la mmusique. Pour lui, la magie, avec toutes les rêveries qu'elle lui inspire, est connaissance intérieure, amélioration de soi aux fins d'une transformation bénéfique des autres : "Il n'est rien à quoi l'homme se laisse mener plus difficilement qu'à son bonheur".
Quand Hesse écrit qu'à aucun moment, il n'a été un homme moderne, il faut entendre qu'il ne s'est jamais accommodé des maux et des sottises de son temps. De même qu'aux plus grands, ses pairs, la vie lui apparaît comme un conte, le plus souvent cruel, mais toujours grandi par la nature et l'amour. Pour nous, c'est le charme éclatant d'un songe qui se dégage de ces pages familières et rythmées.
l'unité de cet ensemble tient à l'inspiration même de Hesse, chez qui s'associent et souvent se confondent la sagesse et l'audace, la peinture et la mmusique. Pour lui, la magie, avec toutes les rêveries qu'elle lui inspire, est connaissance intérieure, amélioration de soi aux fins d'une transformation bénéfique des autres : "Il n'est rien à quoi l'homme se laisse mener plus difficilement qu'à son bonheur".
Quand Hesse écrit qu'à aucun moment, il n'a été un homme moderne, il faut entendre qu'il ne s'est jamais accommodé des maux et des sottises de son temps. De même qu'aux plus grands, ses pairs, la vie lui apparaît comme un conte, le plus souvent cruel, mais toujours grandi par la nature et l'amour. Pour nous, c'est le charme éclatant d'un songe qui se dégage de ces pages familières et rythmées.