L'Émigré de Brisbane. Pièce en neuf tableaux
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.224 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,8 cm
- ISBN2-07-072121-3
- EAN9782070721214
- Date de parution01/09/1990
- CollectionLe manteau d'Arlequin
- ÉditeurGallimard
Résumé
L'émigré de Brisbane revient dans son village natal de Sicile. Il est vieux, il est riche, il a le coeur un peu faible, et le voilà mort avant d'avoir vu personne. Que voulait-il faire à Belvento où les femmes sont vertueuses et les maris farouches ? Retrouver un fils qu'il avait eu jadis d'une jeune fille et lui léguer sa fortune. En Sicile on aime mieux l'honneur que l'argent. Aussi la mort de l'émigré de Brisbane déchaîne les passions et suscite des drames.
Tout cela pour rien : à la dernière scène on s'aperçoit que l'émigré s'était trompé de village. Georges Schehadé a deux caractéristiques qui font de lui un grand écrivain : la moindre de ses phrases est chargée de poésie ; et son théâtre, jusque dans le tragique, reste plein d'humour et de sourires.
Tout cela pour rien : à la dernière scène on s'aperçoit que l'émigré s'était trompé de village. Georges Schehadé a deux caractéristiques qui font de lui un grand écrivain : la moindre de ses phrases est chargée de poésie ; et son théâtre, jusque dans le tragique, reste plein d'humour et de sourires.
L'émigré de Brisbane revient dans son village natal de Sicile. Il est vieux, il est riche, il a le coeur un peu faible, et le voilà mort avant d'avoir vu personne. Que voulait-il faire à Belvento où les femmes sont vertueuses et les maris farouches ? Retrouver un fils qu'il avait eu jadis d'une jeune fille et lui léguer sa fortune. En Sicile on aime mieux l'honneur que l'argent. Aussi la mort de l'émigré de Brisbane déchaîne les passions et suscite des drames.
Tout cela pour rien : à la dernière scène on s'aperçoit que l'émigré s'était trompé de village. Georges Schehadé a deux caractéristiques qui font de lui un grand écrivain : la moindre de ses phrases est chargée de poésie ; et son théâtre, jusque dans le tragique, reste plein d'humour et de sourires.
Tout cela pour rien : à la dernière scène on s'aperçoit que l'émigré s'était trompé de village. Georges Schehadé a deux caractéristiques qui font de lui un grand écrivain : la moindre de ses phrases est chargée de poésie ; et son théâtre, jusque dans le tragique, reste plein d'humour et de sourires.