L' "Eglise famille de Dieu". Ecclésiologie de communion dans les rapports entre Rome et les Eglises locales africaines
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- Nombre de pages338
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.525 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-343-18729-7
- EAN9782343187297
- Date de parution02/09/2020
- CollectionEglises d'Afrique
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
En quoi et comment le concept d'Eglise-Famille de Dieu, en tant qu'expression africaine de l'ecclésiologie de communion, est-il un moyen-terme permettant de réconcilier les rapports tendus entre le particulier de l'africanité et l'universel de la catholicité ? Telle est l'interrogation fondamentale qui sous-tend la réflexion menée dans cet ouvrage. Dans une perspective essentiellement ontologico-historique d'investigation, cette étude part du fait que la famille en Afrique n'est typiquement africaine que si elle conjugue, dans son vécu socio-anthropologique, l'éminemment personnel et l'éminemment communautaire.
De même les Eglises africaines entendent s'autodéterminer dans la double fidélité tant au siège apostolique et à la communion ecclésiale universelle, qu'à leur africanité. Ce faisant, elles ambitionnent de se doter de pasteurs propres selon les deux modèles fusionnés de l'élection des évêques au premier millénaire de l'Eglise et celui de la conclusion du mariage en Afrique traditionnelle. Dès lors, si historiquement, nommer les évêques relève d'une prérogative papale, rien ne serait cependant plus conforme à Ia Tradition des premiers siècles de l'Eglise si, comme dans le mariage africain trad¡tionnel, ce rôle consistait dans l'entérinement d'un choix opéré par les communautés ecclésiales elles-mêmes.
Une véritable synodalité de l'Eglise le requiert.
De même les Eglises africaines entendent s'autodéterminer dans la double fidélité tant au siège apostolique et à la communion ecclésiale universelle, qu'à leur africanité. Ce faisant, elles ambitionnent de se doter de pasteurs propres selon les deux modèles fusionnés de l'élection des évêques au premier millénaire de l'Eglise et celui de la conclusion du mariage en Afrique traditionnelle. Dès lors, si historiquement, nommer les évêques relève d'une prérogative papale, rien ne serait cependant plus conforme à Ia Tradition des premiers siècles de l'Eglise si, comme dans le mariage africain trad¡tionnel, ce rôle consistait dans l'entérinement d'un choix opéré par les communautés ecclésiales elles-mêmes.
Une véritable synodalité de l'Eglise le requiert.
En quoi et comment le concept d'Eglise-Famille de Dieu, en tant qu'expression africaine de l'ecclésiologie de communion, est-il un moyen-terme permettant de réconcilier les rapports tendus entre le particulier de l'africanité et l'universel de la catholicité ? Telle est l'interrogation fondamentale qui sous-tend la réflexion menée dans cet ouvrage. Dans une perspective essentiellement ontologico-historique d'investigation, cette étude part du fait que la famille en Afrique n'est typiquement africaine que si elle conjugue, dans son vécu socio-anthropologique, l'éminemment personnel et l'éminemment communautaire.
De même les Eglises africaines entendent s'autodéterminer dans la double fidélité tant au siège apostolique et à la communion ecclésiale universelle, qu'à leur africanité. Ce faisant, elles ambitionnent de se doter de pasteurs propres selon les deux modèles fusionnés de l'élection des évêques au premier millénaire de l'Eglise et celui de la conclusion du mariage en Afrique traditionnelle. Dès lors, si historiquement, nommer les évêques relève d'une prérogative papale, rien ne serait cependant plus conforme à Ia Tradition des premiers siècles de l'Eglise si, comme dans le mariage africain trad¡tionnel, ce rôle consistait dans l'entérinement d'un choix opéré par les communautés ecclésiales elles-mêmes.
Une véritable synodalité de l'Eglise le requiert.
De même les Eglises africaines entendent s'autodéterminer dans la double fidélité tant au siège apostolique et à la communion ecclésiale universelle, qu'à leur africanité. Ce faisant, elles ambitionnent de se doter de pasteurs propres selon les deux modèles fusionnés de l'élection des évêques au premier millénaire de l'Eglise et celui de la conclusion du mariage en Afrique traditionnelle. Dès lors, si historiquement, nommer les évêques relève d'une prérogative papale, rien ne serait cependant plus conforme à Ia Tradition des premiers siècles de l'Eglise si, comme dans le mariage africain trad¡tionnel, ce rôle consistait dans l'entérinement d'un choix opéré par les communautés ecclésiales elles-mêmes.
Une véritable synodalité de l'Eglise le requiert.