L'Eglise et la société dans l'Occident médiéval
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- Nombre de pages314
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.225 kg
- Dimensions10,7 cm × 17,8 cm × 1,4 cm
- ISBN2-08-081379-X
- EAN9782080813794
- Date de parution10/09/1997
- CollectionChamps
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Retracer l'histoire de l'Eglise au Moyen Age, c'est aussi retracer l'histoire de la société européenne : de 700 à 1500 environ, huit siècles de changements virent s'ébaucher institutions et habitudes de pensée.
L'Eglise du Moyen Age fut l'Etat dans la plénitude de ses pouvoirs tel que, parmi ses prophètes modernes, Hegel lui-même l'avait à peine entrevu. L'Eglise et la société étaient, en effet, si intimement liées que l'une ne pouvait changer sans que l'autre ne subit une transformation similaire. L'auteur analyse les mécanismes sociaux de l'évolution religieuse en examinant notamment la papauté, les relations entre Rome et Byzance, le statut des évêques, enfin, les différents ordres religieux, des bénédictins aux dominicains et aux franciscains.
On trouvera ici l'histoire de la naissance et du déclin de l'un des grands idéaux de l'Occident : l'idée d'une société humaine universelle - la societas perfecta - partie intégrante d'un univers ordonné par Dieu dans le temps comme dans l'éternité, dans la politique concrète comme dans le monde des essences spirituelles.
Retracer l'histoire de l'Eglise au Moyen Age, c'est aussi retracer l'histoire de la société européenne : de 700 à 1500 environ, huit siècles de changements virent s'ébaucher institutions et habitudes de pensée.
L'Eglise du Moyen Age fut l'Etat dans la plénitude de ses pouvoirs tel que, parmi ses prophètes modernes, Hegel lui-même l'avait à peine entrevu. L'Eglise et la société étaient, en effet, si intimement liées que l'une ne pouvait changer sans que l'autre ne subit une transformation similaire. L'auteur analyse les mécanismes sociaux de l'évolution religieuse en examinant notamment la papauté, les relations entre Rome et Byzance, le statut des évêques, enfin, les différents ordres religieux, des bénédictins aux dominicains et aux franciscains.
On trouvera ici l'histoire de la naissance et du déclin de l'un des grands idéaux de l'Occident : l'idée d'une société humaine universelle - la societas perfecta - partie intégrante d'un univers ordonné par Dieu dans le temps comme dans l'éternité, dans la politique concrète comme dans le monde des essences spirituelles.

