L'effet schizomètre. Quand l'art brut dégivre la psychopathologie

Par : Benoit Vidal

Formats :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages124
  • PrésentationBroché
  • FormatAlbum
  • Poids0.384 kg
  • Dimensions17,0 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-35427-193-0
  • EAN9782354271930
  • Date de parution06/12/2018
  • ÉditeurEpel

Résumé

Ils ont écrit : " Qui est ce mystérieux Marco Decorpeliada qui a découvert que les codes d'un certain manuel répertoriant les désordres mentaux sont identiques à ceux des produits Picard surgelés ? "Bemard Génies, Le Nouvel Observateur, Télé Paris Obs, mars 2010. " Le travail du classement, de la mesure et de la répétition situe Decorpeliada dans l'histoire de l'art conceptuel et minimaliste. L'oeuvre rappelle aussi le surréalisme par le surgissement d'une signification dans un rapprochement fortuit d'éléments, un " hasard objectif ".
Mais il y a surtout chez Marco Decorpeliada un souci de dénoncer les pratiques institutionnelles de la psychiatrie avec un humour et une rigueur d'élaboration " oulipiens ". " Louis Seguin, Libération, mars 2010. " A partir d'une réflexion sur le mouvement global de classification, d'évaluation et de normativation dans le milieu psychiatrique (et au-delà), les auteurs en viennent à bousculer et à questionner les modes classificatoires dans l'Art.
Sans égard pour les conventions, leurs travaux s'apparentent à une lutte joyeuse et iconoclaste contre les préjugés qui enferment l'Art et les sujets dans des identités figés. " Séverine Mathelin, Cités, Septembre / Octobre 2010. " C'est formidable ! Je m'enthousiasme à l'idée que de nouvelles découvertes sont faites dans ce champ de recherche ouvert en 2010 par Marco Decorpeliada. Oui, on nous cache des maladies.
Oui, le monde de l'art est calcifié. La vérité méritait d'être révélée. Le processus decorpéliadesque ne fait que commencer, et cet ouvrage est libérateur. " Marcel D., Le bulletin de l'ouspipo, Juin 2018.
Ils ont écrit : " Qui est ce mystérieux Marco Decorpeliada qui a découvert que les codes d'un certain manuel répertoriant les désordres mentaux sont identiques à ceux des produits Picard surgelés ? "Bemard Génies, Le Nouvel Observateur, Télé Paris Obs, mars 2010. " Le travail du classement, de la mesure et de la répétition situe Decorpeliada dans l'histoire de l'art conceptuel et minimaliste. L'oeuvre rappelle aussi le surréalisme par le surgissement d'une signification dans un rapprochement fortuit d'éléments, un " hasard objectif ".
Mais il y a surtout chez Marco Decorpeliada un souci de dénoncer les pratiques institutionnelles de la psychiatrie avec un humour et une rigueur d'élaboration " oulipiens ". " Louis Seguin, Libération, mars 2010. " A partir d'une réflexion sur le mouvement global de classification, d'évaluation et de normativation dans le milieu psychiatrique (et au-delà), les auteurs en viennent à bousculer et à questionner les modes classificatoires dans l'Art.
Sans égard pour les conventions, leurs travaux s'apparentent à une lutte joyeuse et iconoclaste contre les préjugés qui enferment l'Art et les sujets dans des identités figés. " Séverine Mathelin, Cités, Septembre / Octobre 2010. " C'est formidable ! Je m'enthousiasme à l'idée que de nouvelles découvertes sont faites dans ce champ de recherche ouvert en 2010 par Marco Decorpeliada. Oui, on nous cache des maladies.
Oui, le monde de l'art est calcifié. La vérité méritait d'être révélée. Le processus decorpéliadesque ne fait que commencer, et cet ouvrage est libérateur. " Marcel D., Le bulletin de l'ouspipo, Juin 2018.
Charogne
E-book
13,99 €
Charogne
Benoit Vidal, Borris
Album
19,00 €